NOBODY’S voit le jour des suites d’une rencontre dans la nuit lilloise, d’une puis plusieurs bières et surtout d’un amour inconditionnel pour le rock français et ses héros, de Thiéfaine à Noir Désir et de No One Is Innocent à Eiffel.

C’est en quelque sorte pour imiter ces Grands que NOBODY’S décida de sortir et d’aiguiser sa plume déjà fort bien acérée.
Et malgré un nom à consonance anglo-saxonne, le yaourt shakespearien habituel fait place à la douce langue de Molière, le quatuor en profitant pour introduire subtilement les sens multiples, les figures des styles, et ainsi pouvoir user du caché pour donner une toute autre dimension de sa musique et une interprétation personnelle à chaque auditeur.

Tantôt ironiques, agressives ou mélancoliques, les paroles de NOBODY’S s’apparentent à des tranches de vie, des coups de gueule ou des coups de poing mais toujours dans cette volonté de dénoncer ce que tout le monde pense, trop souvent, trop bas.

Pour 2017, NOBODY’S n’aspire plus qu’à une chose, sortir son premier EP pour écrire à l’encre de son rock ses textes dans le patrimoine français, Blankass et Cantat n’ont qu’à bien se tenir…