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Mélissa Laveaux Tickets, Tour Dates and Concerts
Mélissa Laveaux Tickets, Tour Dates and Concerts

Mélissa Laveaux検証済み

フォロワー数 7,958
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ファンのレビュー

Mathilde Trouvé
2023年10月1日
Melissa est une artiste incroyable et la soirée était tout aussi fantastique. ❤️
Paris, France@
La Fleche d'Or
Laurent
2023年1月28日
Belle énergie sur scène qui a même déclenche l'alarme incendie...
Sérignan, France@
La Cigalière
Fred
2019年11月30日
Jolie ambiance dansante.
Sallanches, France@
Room Léon Curral

Mélissa Laveaux について

MELISSA LAVEAUX
« Mama forgot her name was Miracle » Nouvel album – sortie le 11 mars

Après l’excellent Radyo Siwèl en 2018, Mélissa Laveaux est de retour avec un nouvel et
quatrième album studio : Mama Forgot Her Name Was Miracle, un disque spirituel, poétique et
hautement émancipatoire.
À ses débuts en 2008, Mélissa Laveaux se faisait déjà alchimiste de la chanson au fil de son
premier album
Camphor & Copper (
No Format), dévoilant les contours de sa cosmogonie : une
guitare offerte par son père à 13 ans, des textes poétiques en anglais et en créole, une voix féline,
une folk-blues hantée où réside un mystère. Celle qui a fait ses armes de militante dans le milieu
punk-fém d’Ottawa poursuivra son chemin de musique en traversant l’Atlantique pour s’installer à
Paris où elle vit désormais et donner naissance à
Dying Is A Wild Night
(No Format, 2013), un
deuxième opus largement inspiré par ce voyage initiatique.
Le déracinement fait partie intégrante de l’ADN musical de Mélissa Laveaux : avant elle, ses
parents ont fui Haïti pour Montréal au Canada quand sa grande idole, la résistante haïtienne
Martha Jean-Claude, chantait son île chérie depuis Cuba, où elle s’est réfugiée dans les années
50 alors que sévissait la dynastie Duvalier.
Et c’est en partie pour restaurer ce lien perdu avec Haïti, pour guérir l’exil, qu’avec
Mélissa Laveaux puisait en ethnomusicologue dans ses traditions musicales
Radyo Siwèl
(No Format, 2018)
,
pour en exhumer comptines et chants perdus, nous rappelant aussi combien la musique peut être
un instrument de résistance politique.
Après une tournée triomphale qui s’achevait au Trianon à Paris en octobre 2019, la guitariste,
chanteuse et poétesse se dévoile à présent sous un jour plus intime. A 35 ans, Mélissa Laveaux
explore aujourd’hui la dimension thérapeutique et spirituelle de la musique en revisitant une forme
ancestrale : la berceuse.

Car si les rituels et les modèles dont on hérite sont parfois défaillants, dépassés voire rétrogrades,
libre à nous d’innover ! Avec
Mama Forgot Her Name Was Miracle
, Mélissa Laveaux ré-ensauvage
donc la berceuse en convoquant de puissantes voix d’outre-temps pour créer une toute nouvelle
mythologie.
Alternative. Moderne. Subversive.
Car changer les légendes, c’est changer le présent.
En archiviste des luttes féministes et sociales, en passeuse, Mélissa Laveaux fait donc appel à
une communauté d’héroïnes que l’Histoire a oubliées ou volontairement mises à la marge. Autant
d’archétypes dont le talent, le culot, l’engagement, la résilience et la grande liberté constituent pour
la musicienne une source d’inspiration inépuisable. Ainsi d’un titre à l'autre croise-t-on Harriet
Tubman, Jackie Shane, Audre Lorde, Helen Stephens, la déesse Lilith, La Papesse Jeanne,
Ching Shih, Alice Walker, James Baldwin, Faith Ringgold, Ana Mendieta ou encore Alexis Pauline
Gumbs...
Tour à tour guérisseuses et guerrières, les membres de ce chœur-courage se sont affirmées en
refusant de se contenter de survivre, de se soumettre à des normes assignées ou de subir un
destin qu’elles n’avaient pas choisi. A l’image de Jackie Shane, pionnière transgenre de la soul
canadienne dont les chants d’amour révolutionnaires ont ouvert la voie à tant d’autres. A l’image
de Ching Shih, travailleuse du sexe chinoise qui préféra devenir la pirate la plus respectée des
Mers du Sud au début du XIXe siècle. A l’image encore d’Harriet Tubman, ancienne esclave afro-
américaine qui a aidé des centaines d'autres opprimé.e.s à retrouver les routes de la liberté.
Trait-d’union immémorial entre les mondes et les cultures, musicothérapie originelle, musique-
sorcière par excellence, la berceuse demeure sans doute le premier geste de soin, le chant
d’amour le plus pur. Un rituel magique qui chez Mélissa Laveaux regorge d’incantations, de prières
et de clés, mystiques ou métaphoriques, pour trouver la force de déconstruire ses peurs,
transcender ses traumatismes et renaître guérie – ou au moins aguerrie. Collier d’amulettes
électriques porté par une conversation rythmique entre les Caraïbes et l’Afrique de l’Ouest,
Mama
Forgot Her Name Was Miracle
dit alors : “
Osons vivre ! Férocement, libres et flamboyant.e.s !
#subjectivation.”
L’union fait la force, l’adage a déjà fait ses preuves, ainsi Mélissa Laveaux s’entoure donc d’une
brigade sûre de sorciers du son : citons notamment Guillaume Ferran (claviers, piano, piano
basse), Voyou (trompette, clarinette), Clyde Rabatel (claviers, piano), Mathieu Gramoli (batterie),
Steve Yameogo (basse, guitare), Sébastien Delage (guitare). Et quelques allié.e.s de choix qui
viennent ajouter un peu de leur magie au tout : November Ultra ("
Rosewater
"), Dope Saint Jude
Half a Wizard, Half a Witch
"), Oxmo Puccino ("
") ou encore Fink (“
Seven Sisters
(" Lilith ”).
Un grand album, à découvrir en live !
***
Jeanne Lacaille
Dans
Mama Forgot Her Name Was Miracle,
Mélissa Laveaux met sa poésie militante et son
groove folk-blues au service de ces super-pouvoirs que sont le don, la créativité, la joie, la beauté,
la métamorphose ou encore l’intuition.
Pour nous et pour elle-même, Mélissa Laveaux réactive ainsi, en formidable conteuse des eaux
profondes, une force vitale miraculeuse qui contrairement aux apparences n’est jamais totalement
anéantie.
表示を増やす
ジャンル:
Psychedelic But Not.
出身地:
Paris, France

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Melissa est une artiste incroyable et la soirée était tout aussi fantastique. ❤️
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La Fleche d'Or
Laurent
2023年1月28日
Belle énergie sur scène qui a même déclenche l'alarme incendie...
Sérignan, France@
La Cigalière
Fred
2019年11月30日
Jolie ambiance dansante.
Sallanches, France@
Room Léon Curral

Mélissa Laveaux について

MELISSA LAVEAUX
« Mama forgot her name was Miracle » Nouvel album – sortie le 11 mars

Après l’excellent Radyo Siwèl en 2018, Mélissa Laveaux est de retour avec un nouvel et
quatrième album studio : Mama Forgot Her Name Was Miracle, un disque spirituel, poétique et
hautement émancipatoire.
À ses débuts en 2008, Mélissa Laveaux se faisait déjà alchimiste de la chanson au fil de son
premier album
Camphor & Copper (
No Format), dévoilant les contours de sa cosmogonie : une
guitare offerte par son père à 13 ans, des textes poétiques en anglais et en créole, une voix féline,
une folk-blues hantée où réside un mystère. Celle qui a fait ses armes de militante dans le milieu
punk-fém d’Ottawa poursuivra son chemin de musique en traversant l’Atlantique pour s’installer à
Paris où elle vit désormais et donner naissance à
Dying Is A Wild Night
(No Format, 2013), un
deuxième opus largement inspiré par ce voyage initiatique.
Le déracinement fait partie intégrante de l’ADN musical de Mélissa Laveaux : avant elle, ses
parents ont fui Haïti pour Montréal au Canada quand sa grande idole, la résistante haïtienne
Martha Jean-Claude, chantait son île chérie depuis Cuba, où elle s’est réfugiée dans les années
50 alors que sévissait la dynastie Duvalier.
Et c’est en partie pour restaurer ce lien perdu avec Haïti, pour guérir l’exil, qu’avec
Mélissa Laveaux puisait en ethnomusicologue dans ses traditions musicales
Radyo Siwèl
(No Format, 2018)
,
pour en exhumer comptines et chants perdus, nous rappelant aussi combien la musique peut être
un instrument de résistance politique.
Après une tournée triomphale qui s’achevait au Trianon à Paris en octobre 2019, la guitariste,
chanteuse et poétesse se dévoile à présent sous un jour plus intime. A 35 ans, Mélissa Laveaux
explore aujourd’hui la dimension thérapeutique et spirituelle de la musique en revisitant une forme
ancestrale : la berceuse.

Car si les rituels et les modèles dont on hérite sont parfois défaillants, dépassés voire rétrogrades,
libre à nous d’innover ! Avec
Mama Forgot Her Name Was Miracle
, Mélissa Laveaux ré-ensauvage
donc la berceuse en convoquant de puissantes voix d’outre-temps pour créer une toute nouvelle
mythologie.
Alternative. Moderne. Subversive.
Car changer les légendes, c’est changer le présent.
En archiviste des luttes féministes et sociales, en passeuse, Mélissa Laveaux fait donc appel à
une communauté d’héroïnes que l’Histoire a oubliées ou volontairement mises à la marge. Autant
d’archétypes dont le talent, le culot, l’engagement, la résilience et la grande liberté constituent pour
la musicienne une source d’inspiration inépuisable. Ainsi d’un titre à l'autre croise-t-on Harriet
Tubman, Jackie Shane, Audre Lorde, Helen Stephens, la déesse Lilith, La Papesse Jeanne,
Ching Shih, Alice Walker, James Baldwin, Faith Ringgold, Ana Mendieta ou encore Alexis Pauline
Gumbs...
Tour à tour guérisseuses et guerrières, les membres de ce chœur-courage se sont affirmées en
refusant de se contenter de survivre, de se soumettre à des normes assignées ou de subir un
destin qu’elles n’avaient pas choisi. A l’image de Jackie Shane, pionnière transgenre de la soul
canadienne dont les chants d’amour révolutionnaires ont ouvert la voie à tant d’autres. A l’image
de Ching Shih, travailleuse du sexe chinoise qui préféra devenir la pirate la plus respectée des
Mers du Sud au début du XIXe siècle. A l’image encore d’Harriet Tubman, ancienne esclave afro-
américaine qui a aidé des centaines d'autres opprimé.e.s à retrouver les routes de la liberté.
Trait-d’union immémorial entre les mondes et les cultures, musicothérapie originelle, musique-
sorcière par excellence, la berceuse demeure sans doute le premier geste de soin, le chant
d’amour le plus pur. Un rituel magique qui chez Mélissa Laveaux regorge d’incantations, de prières
et de clés, mystiques ou métaphoriques, pour trouver la force de déconstruire ses peurs,
transcender ses traumatismes et renaître guérie – ou au moins aguerrie. Collier d’amulettes
électriques porté par une conversation rythmique entre les Caraïbes et l’Afrique de l’Ouest,
Mama
Forgot Her Name Was Miracle
dit alors : “
Osons vivre ! Férocement, libres et flamboyant.e.s !
#subjectivation.”
L’union fait la force, l’adage a déjà fait ses preuves, ainsi Mélissa Laveaux s’entoure donc d’une
brigade sûre de sorciers du son : citons notamment Guillaume Ferran (claviers, piano, piano
basse), Voyou (trompette, clarinette), Clyde Rabatel (claviers, piano), Mathieu Gramoli (batterie),
Steve Yameogo (basse, guitare), Sébastien Delage (guitare). Et quelques allié.e.s de choix qui
viennent ajouter un peu de leur magie au tout : November Ultra ("
Rosewater
"), Dope Saint Jude
Half a Wizard, Half a Witch
"), Oxmo Puccino ("
") ou encore Fink (“
Seven Sisters
(" Lilith ”).
Un grand album, à découvrir en live !
***
Jeanne Lacaille
Dans
Mama Forgot Her Name Was Miracle,
Mélissa Laveaux met sa poésie militante et son
groove folk-blues au service de ces super-pouvoirs que sont le don, la créativité, la joie, la beauté,
la métamorphose ou encore l’intuition.
Pour nous et pour elle-même, Mélissa Laveaux réactive ainsi, en formidable conteuse des eaux
profondes, une force vitale miraculeuse qui contrairement aux apparences n’est jamais totalement
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