Vous avez des bons goûts.
Connectez-vous pour suivre vos artistes favoris, sauvegarder des événements, & plus encore.
Connexion

Voyou
Maison des Métallos
94 Rue Jean-Pierre Timbaud
30 avr. 2025
19:00 UTC+2
J'y étais
Laisser une critique

Description du concert
Le 30 avril à 19h, à la Maison des Métallos, un talk, animé par Didier Varrod, réunira Voyou, Catherine Salvador et Guido (Acid Arab) autour de l’héritage de Salvador sur la musique française et brésilienne. Un documentaire de Jade de Brito Lopes retraçant la création de l’album Henri Salvador est un Voyou — né d’une création originale conçue pour l’Hyper Weekend Festival et présentée à la Maison de la Radio et de la Musique en janvier dernier — sera projeté, suivi d’un showcase inédit où Voyou reprendra des morceaux de Henri Salvador et certains de ses propres titres.
L'événement se clôturera par un moment d’échange privilégié avec le public.
Dans la mesure des places disponibles. Premiers inscrits, premiers servis
Afficher plus
Trouver un endroit où dormir
Autres concerts à venir par des artistes similaires
Photos live
Voir toutes les Photos
Commentaires des fans

Sabrina&Matthieu
10 novembre 2023
À refaire obligatoirement à la prochaine date dans la région !
Oignies, France@LE 9-9BIS
Découvrez plus d'artistes à suivre & synchronisez votre musique
Trouvez vos favoris

Partager l’événement
À props de la salle
Suivre cette salle
Biographie de Voyou
Le nouvel album de Voyou, “Les Royaumes Minuscules”, s’écoute comme si la musique avait des bras et nous enveloppait de sa peau, à la manière d’une amie ou d’un animal. Sensibles et chaleureux, les 11 morceaux qui le composent ont tous un corps et une histoire.
Musicien complet, Voyou poursuit et précise sa trajectoire en bâtissant ces nouveaux royaumes de trois minutes. Entièrement composés, écrits et arrangés par lui, ils ont d’abord été enregistrés dans divers studios français, avant de voyager au Brésil, où Voyou est parti, seul, enregistrer les rythmiques.
Ces voyages et ces rencontres, multiples, confèrent au disque une chaleur palpable. À la manière des musiques sud-américaines, de la nouvelle scène soul jazz UK et des musiques orientales dans lesquelles Voyou aime s’immerger au quotidien, “Les Royaumes Minuscules” déborde d’âme.
À l’écoute du disque, on a la sensation d’être embarqué dans une histoire, évidente et pop, une odyssée d’aujourd’hui, enveloppante et délicate. Un récit dont le décor, stable, est fait de percussions, de basses et de guitares, et dans lesquels se meuvent des instruments si expressifs, cuivres, violons, flûtes et pianos, qu’ils semblent avoir chacun un visage.
Les paroles ont quant à elles des airs de films miniatures. Comme des brèves contemporaines de trois minutes, où les animaux, les végétaux et les humains se fréquentent et s’inspirent, et où chaque phrase semble toujours vouloir en dire plus.
A la fin, cela donne une impression de terrible proximité. De joie, et de pudeur. “Les Royaumes Minuscules” sont la preuve que dans chaque geste, chaque visage et chaque présence, même les plus microscopiques en apparence, se cache l’univers entier — pour peu qu’on lui prête notre oreille, pour peu qu’on l’écoute et qu’on laisse sa musique intime l’emporter. Et, avec élégance et malice, c’est ce que parvient à faire Voyou. Changer le monde en musique. Laisser longtemps résonner.
Plus d'infoMusicien complet, Voyou poursuit et précise sa trajectoire en bâtissant ces nouveaux royaumes de trois minutes. Entièrement composés, écrits et arrangés par lui, ils ont d’abord été enregistrés dans divers studios français, avant de voyager au Brésil, où Voyou est parti, seul, enregistrer les rythmiques.
Ces voyages et ces rencontres, multiples, confèrent au disque une chaleur palpable. À la manière des musiques sud-américaines, de la nouvelle scène soul jazz UK et des musiques orientales dans lesquelles Voyou aime s’immerger au quotidien, “Les Royaumes Minuscules” déborde d’âme.
À l’écoute du disque, on a la sensation d’être embarqué dans une histoire, évidente et pop, une odyssée d’aujourd’hui, enveloppante et délicate. Un récit dont le décor, stable, est fait de percussions, de basses et de guitares, et dans lesquels se meuvent des instruments si expressifs, cuivres, violons, flûtes et pianos, qu’ils semblent avoir chacun un visage.
Les paroles ont quant à elles des airs de films miniatures. Comme des brèves contemporaines de trois minutes, où les animaux, les végétaux et les humains se fréquentent et s’inspirent, et où chaque phrase semble toujours vouloir en dire plus.
A la fin, cela donne une impression de terrible proximité. De joie, et de pudeur. “Les Royaumes Minuscules” sont la preuve que dans chaque geste, chaque visage et chaque présence, même les plus microscopiques en apparence, se cache l’univers entier — pour peu qu’on lui prête notre oreille, pour peu qu’on l’écoute et qu’on laisse sa musique intime l’emporter. Et, avec élégance et malice, c’est ce que parvient à faire Voyou. Changer le monde en musique. Laisser longtemps résonner.
Pop
Suivre cet artiste