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Billets, dates de tournée et concerts pour MARVIN JOUNO
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A propos de MARVIN JOUNO

Marvin Jouno « Intérieur nuit » Assis à la table, il écrit des nouvelles et pèse ses mots sur la balance des blancs. Marvin Jouno est un chanteur-compositeur qui capture la lumière, joue avec son ombre, fait défiler la pellicule d’un film invisible au fil de ces 11 chansons pop ombrageuses et épidermiques. A l’intérieur c’est la nuit, et dehors, le narrateur se fond dans une steppe imaginaire et croise des personnages fascinants : un soldat évadé qui court vers son amour (Si le vous vous plait), la petite japonaise, Mégumi Yokota, enlevée en 1977 par des espions nord-coréens (Les chers leaders), la caravane familiale sur la route de l’exode rurale guidée par le père (Exode 81), un plan séquence balaye les images d’un Berlin qui s’effacent peu à peu (Est-ce l’Est). Il chante la rupture qui raisonne déjà comme un classique, Quitte à me quitter, c’est la peur de perdre son astre sur un calypso-électro qui se change en nappes incandescentes. Ce premier album est le voyage intérieur d’un garçon de 31 ans qui avance masqué. Dans cette auto-fiction chantée en français, Marvin se regarde dans le miroir flou du réalisateur Andreï Tarkovski, s’abreuve de littérature russe, écrit des vraies lettres d’amour, libère ses fantômes. Il pose un décors sonore, le piano nocturne fait sa mue et laisse place à des textures synthétiques lo-fi et des rythmes massifs qui nous entrainent dans les faubourgs de Londres. Marvin Jouno possède un flow fiévreux qui souffle le feu et donne vie à des boucles électroniques gelées, il fait des chansons à contre-jour et confie ses visions fugitives à ses amis de toujours, le réalisateur et arrangeur Angelo Foley (réalisateur du dernier de Christine & The Queen) et à la pianiste de jazz Agnès Imbault (du groupe Juniore). Ici, tout est contraste, le bitume de la banlieue parisienne de son adolescence côtoie les côtes sauvages de sa Bretagne natale. Un sourire pudique laisse entrevoir une légère tension au bord des lèvres, le visage est doux et insolent, la poitrine fragile et le cœur impatient. Dans Love later il se fait tard, on danse, on s’entortille, on se court après dans une boite de nuit disco ; c’est la pulsion funk et sexy des 80’s éclairée par la lumière bleutée d’une nuit blanche. Il se fait remarquer en participant à des radio-crochets (Les talents Europe 1, Nous avons les moyens de vous faire chanter sur France-Inter, Les Inouïs du Printemps de Bourges), honore les premières parties de Cali à Rennes et de Jeanne Cherhal à la Cigale. Sur son mur : Daho, New Order, Radiohead, James Blake, Björk, Bashung, Bergman, Dostoïevski, Camus, Varda… Il a eu plusieurs vies, d’une dune à l’autre, il a vite appris tout seul. Des études de cinéma, un passage à l’usine, il a travaillé dix ans sur les plateaux de tournage comme chef décorateur, pris des notes et c’est sur son piano qu’il a esquissé la partition de sa nouvelle aventure. « Intérieur Nuit » est un album d’hiver enregistré dans un Mas de Provence en été, un scénario qui se lit comme un récit, à voix haute, s’écoute et se regarde par la fenêtre. C’est une fuite, une échappée belle dans des paysages engourdis que le chant rallume. Alors on se laisse prendre d’une vague et on vogue sur le récitatif d’un jeune héro nostalgique. Tout s’agite, la voix s’ouvre au premier plan, les photographies et les souvenirs se bousculent ; sans concession, ce chant mélancolique nous prend à bras le corps, se fait seconde peau. Pas de doute, Marvin Jouno se saisit du flambeau de la pop française avec des gants tissés d’une matière noble et sensible, des textes francs, sculptés à la main, un timbre charnel et humble au service d’une langue qu’il adore. Au bout du voyage, réchauffé et dépaysé, on titube un peu. Marvin Jouno nous repose délicatement au bord du lit. Derrière le rideau, la lumière de la lune brille encore. Aurélie Sfez ★ Intérieur Nuit (Réédition) ★ Disponible le 10 Mars 2017
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Genres:
Pop En Vf

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Marvin Jouno « Intérieur nuit » Assis à la table, il écrit des nouvelles et pèse ses mots sur la balance des blancs. Marvin Jouno est un chanteur-compositeur qui capture la lumière, joue avec son ombre, fait défiler la pellicule d’un film invisible au fil de ces 11 chansons pop ombrageuses et épidermiques. A l’intérieur c’est la nuit, et dehors, le narrateur se fond dans une steppe imaginaire et croise des personnages fascinants : un soldat évadé qui court vers son amour (Si le vous vous plait), la petite japonaise, Mégumi Yokota, enlevée en 1977 par des espions nord-coréens (Les chers leaders), la caravane familiale sur la route de l’exode rurale guidée par le père (Exode 81), un plan séquence balaye les images d’un Berlin qui s’effacent peu à peu (Est-ce l’Est). Il chante la rupture qui raisonne déjà comme un classique, Quitte à me quitter, c’est la peur de perdre son astre sur un calypso-électro qui se change en nappes incandescentes. Ce premier album est le voyage intérieur d’un garçon de 31 ans qui avance masqué. Dans cette auto-fiction chantée en français, Marvin se regarde dans le miroir flou du réalisateur Andreï Tarkovski, s’abreuve de littérature russe, écrit des vraies lettres d’amour, libère ses fantômes. Il pose un décors sonore, le piano nocturne fait sa mue et laisse place à des textures synthétiques lo-fi et des rythmes massifs qui nous entrainent dans les faubourgs de Londres. Marvin Jouno possède un flow fiévreux qui souffle le feu et donne vie à des boucles électroniques gelées, il fait des chansons à contre-jour et confie ses visions fugitives à ses amis de toujours, le réalisateur et arrangeur Angelo Foley (réalisateur du dernier de Christine & The Queen) et à la pianiste de jazz Agnès Imbault (du groupe Juniore). Ici, tout est contraste, le bitume de la banlieue parisienne de son adolescence côtoie les côtes sauvages de sa Bretagne natale. Un sourire pudique laisse entrevoir une légère tension au bord des lèvres, le visage est doux et insolent, la poitrine fragile et le cœur impatient. Dans Love later il se fait tard, on danse, on s’entortille, on se court après dans une boite de nuit disco ; c’est la pulsion funk et sexy des 80’s éclairée par la lumière bleutée d’une nuit blanche. Il se fait remarquer en participant à des radio-crochets (Les talents Europe 1, Nous avons les moyens de vous faire chanter sur France-Inter, Les Inouïs du Printemps de Bourges), honore les premières parties de Cali à Rennes et de Jeanne Cherhal à la Cigale. Sur son mur : Daho, New Order, Radiohead, James Blake, Björk, Bashung, Bergman, Dostoïevski, Camus, Varda… Il a eu plusieurs vies, d’une dune à l’autre, il a vite appris tout seul. Des études de cinéma, un passage à l’usine, il a travaillé dix ans sur les plateaux de tournage comme chef décorateur, pris des notes et c’est sur son piano qu’il a esquissé la partition de sa nouvelle aventure. « Intérieur Nuit » est un album d’hiver enregistré dans un Mas de Provence en été, un scénario qui se lit comme un récit, à voix haute, s’écoute et se regarde par la fenêtre. C’est une fuite, une échappée belle dans des paysages engourdis que le chant rallume. Alors on se laisse prendre d’une vague et on vogue sur le récitatif d’un jeune héro nostalgique. Tout s’agite, la voix s’ouvre au premier plan, les photographies et les souvenirs se bousculent ; sans concession, ce chant mélancolique nous prend à bras le corps, se fait seconde peau. Pas de doute, Marvin Jouno se saisit du flambeau de la pop française avec des gants tissés d’une matière noble et sensible, des textes francs, sculptés à la main, un timbre charnel et humble au service d’une langue qu’il adore. Au bout du voyage, réchauffé et dépaysé, on titube un peu. Marvin Jouno nous repose délicatement au bord du lit. Derrière le rideau, la lumière de la lune brille encore. Aurélie Sfez ★ Intérieur Nuit (Réédition) ★ Disponible le 10 Mars 2017
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