Nous sommes comme la pomme de Newton... Attirés par la gravité, la pesanteur de notre quotidien, le poids de nos habitudes, de nos chaînes et de toutes les conventions établies.

Pourtant, notre tête, déjà inclinée, se redresse, l’oreille saisie par un son, quelques arpèges électriques à peine saturés, puis une énergie qui monte, une chanson qui enfle, résonne comme un hymne. Un hymne exhorté par une voix habitée, écorchée qui appelle à l’urgence de la révolte.

Écouter The Newtons, c’est avoir envie d’enlever la poussière de ses yeux, de rouler sans but et d’abandonner la voiture une fois le réservoir vide, de retrouver la légèreté perdue.

Pour nous montrer le chemin, nous réapprendre à regarder les étoiles, The Newtons déploient l’énergie de l’espoir.
Nourris à la sagesse des anciens comme les Foo fighters, Pearl Jam, Bon Jovi, Guns'N'Roses U2 ou Muse, le quatuor sait faire murmurer ou rager les guitares, le tout emmené par une section rythmique implacable. Guidé par sa boussole intérieure, l’ensemble navigue sans se perdre entre riffs détonants, mélodies pop envoûtantes, refrains fédérateurs et ambiances électro.

Pour retrouver l’alchimie qui a fait la grandeur de ses premiers amours musicaux, le marteleur de fûts Mike SACCOMAN (As De Trèfle, Kronos, Melted Space) a fait appel à son vieux compagnon, chaman des basses fréquences, Brice GUILLON (Rue D'la Soif, Melted Space).

La formule n’aurait pas été complète sans les cordes du guitariste soliste Genguiz GOKALTAY (Hassan Hajdi/Ange, The Roosters, Daniel Peroine) et la voix du chanteur-guitariste Baptistin FREAL (Mia Wallas) pour appeler le soleil ou convoquer l’orage.

Ensemble ils sont réunis pour nous convaincre qu'Isaac Newton s’est bel et bien trompé : nous sommes destinés à nous élever…