Les rires et les cris, les doutes et les angoisses, les nuits qui n’en finissent plus et les éclairs créatifs, les anecdotes racontables et pas du tout racontables, les échecs et les frustrations et – disons-le – les colères volcaniques, les moments magiques d’amitiés et de tendresse dans la réussite : MA PEAU est complété, et le voici.

Mais Éric Lapointe est, demeure, et ne cessera d’être Éric Lapointe, pour le meilleur et pour le pire avec son public, pour le malheur et pour le pire avec les femmes de sa vie. Tous ces doutes, toutes ces colères, mais tous ces éclairs de magie et de création et de lumière ne cessent pas avec l’album MA PEAU serti dans son caisson de métal.

Après Obsession (1994, plus de 225 000 copies vendues), Invitez les Vautours (1996, 180 000 copies vendues à ce jour) À l’ombre de l’Ange (1999, 225 000), Adrénaline (2002, 160 000) et Coupable, (2004, 100 000), puis la compilation N’importe qui (50 000 en 2007) et les minis des Boys, Lapointe nous arrive avec MA PEAU, son cinquième album studio, celui qui lui fera franchir le cap du 1 000 000 de copies vendues au Québec.

Impossible de présenter Éric Lapointe à un public gavé des indiscrétions des médias face à un personnage rendu plus grand que nature par, justement, sa nature, sa passion, son intensité. Pourtant, il se présente lui-même, simple, et à la fois cruel et vulnérable, à travers les textes poignants et envoûtants auxquels il donne une voix dans MA PEAU, dont le premier extrait TOUCHER.

Tout commence à peine, ici, ce soir, et dans les maisons, les voitures et les baladeurs, beaucoup dans les lits et les larmes, les ivresses et les bonheurs. Tout commence sur scène, là où vit la musique.