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Alexandre Kinn Tickets, Tour Dates and Concerts
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Acerca De Alexandre Kinn

Ça commence avec le bruit du ressac, des cordes, une guitare sèche, des percussions tribales et des cuivres qui s’emballent : « Marins » qui ouvre le deuxième album d’Alexandre Kinn est une invitation au voyage, à retrouver l’essentiel. « C’est une ode à la nature et aux éléments qui grondent…» confie le guitariste et chanteur. En 2008, cet ancien apprenti-égyptologue débarquait sans crier gare avec une chanson teintée de blues et de groove. Ses mots, soigneusement soupesés, étaient portés par un joli vibrato et un swing naturel. Dans la Tête d’un homme (2008) et l’émouvant « Aude » écrite pour la naissance d’un enfant, s’était taillé un joli succès. Puis, invité par Sporto Kantès à les accompagner à la guitare sur scène, Alexandre Kinn avait un temps mis sa carrière entre parenthèse. Mais comme l’homme ne craint ni la prise de risque ni l’absence de confort, il décida de tout arrêter pour se poser, armé d’un carnet et d’instruments de musique, au bord du Lac Rose à l’ouest du Sénégal. De cette parenthèse magique, il n’a rapporté que le riff de « Partir », composé sur sa guitare fétiche, une Weissenborn fabriquée sur mesure pour lui par un luthier parisien. Ce voyage, l’air de rien, le remua en profondeur. A son retour en France, Alexandre avait décidé de changer - artistiquement. « Le premier album était léger. La crise n'avait pas encore vraiment frappé. J'avais envie de faire un disque qui colle à l'époque, mais pas en anar le poing levé car je suis quelqu'un de plutôt discret sur mes convictions. » La rencontre avec Olivier Koundouno, l’arrangeur d’Emily Loizeau, sera le catalyseur de cette mue. « Il a remis en question ma musique. Ça a été difficile à entendre, mais c’est sans doute la meilleure chose qui me soit arrivée. » En lui confiant la co-réalisation, Alexandre Kinn fait le bon choix. Il s’entoure également de musiciens aguerris, de préférence polyvalents. « Il y a Emmanuel Marée à la batterie. Il a un son vintage à la Jay Bellerose (Ray La Montagne). Aurélien Calvel et Elise Blanchard à la basse (elle joue avec –M-), Csaba Pilotaï qui joue des guitares et apporte une touche surréaliste, Frédéric Monnier à la contrebasse et Alexandre Léauthaud à l’accordéon. Cédric Ricard a réalisé les arrangements de cuivres et Hugh Coltman, un ami, est venu chanter sur « Take it Easy » ainsi que Neeskens sur « Marins » et « les folliculaires ». Du premier album, le guitariste et chanteur a gardé quelques couleurs blues : un parler-chanté à la Dylan. « J’étais complètement passé à côté. J’y suis venu en regardant Don’t Look Back, le documentaire de Martin Scorsese. Ces deux dernières années, je l’ai écouté constamment. Surtout les trois premiers albums. Et je me suis demandé ce que Dylan écrirait s’il débutait aujourd’hui. J’aime sa verve et ses textes qui parlent de choses brutes. Il me fait penser à Cendrars, à Bukowski, à Fante ». L’harmonica (« Les Folliculaires ») et le dénuement (musical) (« Comme Un mantra ») nous évoquent ainsi l’image du « troubadour » américain. Il y a aussi de la rondeur dans ses chansons. Cette tendresse d’un Fred Neil (« le vent »), probablement la chanson la plus directement Dylanienne ), d’un Bon Iver ou d’une Feist, dont les récents albums l’ont enchanté. Mais la douceur de sa voix ne fait pas oublier la violence qui couve. Dans « J’attends », « c'est Irréversible de Gaspar Noé mais en chanson. » Elle éclate dans « Le Jour où j’ai tué un homme ». « Je suis quelqu'un d'assez pacifiste, voire objecteur de conscience et j'ai voulu dépasser ce stade, pour essayer de me mettre dans la peau de quelqu'un qui aurait tué. J’ai construit cette chanson comme un film ». Idéaliste, Alexandre Kinn rêverait de changer les choses (« Babel », « Messieurs ») et d’en finir avec l’individualisme sauvage pour retrouver des valeurs simples et essentielles : la famille et la nature (« Les Folliculaires », « Famille » « Marins »). Il le fait en mots. A la richesse des ambiances et délicatesse des mélodies répondent des textes à la poésie brute et sans pacotille. « Cet amour pour les mots est venu après une maladie qui m'a cloué au lit, enfant. J'ai commencé à lire et j'ai tout de suite aimé ça : Rimbaud, surtout, puis Verlaine, Hugo, Mallarmé... et je n'ai jamais lâché. Ensuite il y a eu Blaise Cendrars dont le côté routard m’a vraiment plu. C’est un arpenteur du vivant... » C’est d’ailleurs au poète qu’appartiennent les dernières paroles de l’album, dont il lit « Tu es plus belle que le ciel et la mer » extrait des Feuilles de route (1924). « Quand tu aimes il faut partir/Quitte ta femme quitte ton enfant/Quitte ton ami quitte ton amie/Quitte ton amante quitte ton amant/Quand tu aimes il faut partir » Alexandre Kinn est prêt à reprendre la route. Itunes : http://smarturl.it/kinncestbeau http://world.idolweb.fr/17h/alexandre-kinn/si-le-vent-se-leve/3700551747597.html
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Géneros:
Pop-folk En Français, French, International
Miembros de la banda:
Alexandre Kinn : voix - guitares, Management : fabien.strulovici@gmail.com

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Acerca De Alexandre Kinn

Ça commence avec le bruit du ressac, des cordes, une guitare sèche, des percussions tribales et des cuivres qui s’emballent : « Marins » qui ouvre le deuxième album d’Alexandre Kinn est une invitation au voyage, à retrouver l’essentiel. « C’est une ode à la nature et aux éléments qui grondent…» confie le guitariste et chanteur. En 2008, cet ancien apprenti-égyptologue débarquait sans crier gare avec une chanson teintée de blues et de groove. Ses mots, soigneusement soupesés, étaient portés par un joli vibrato et un swing naturel. Dans la Tête d’un homme (2008) et l’émouvant « Aude » écrite pour la naissance d’un enfant, s’était taillé un joli succès. Puis, invité par Sporto Kantès à les accompagner à la guitare sur scène, Alexandre Kinn avait un temps mis sa carrière entre parenthèse. Mais comme l’homme ne craint ni la prise de risque ni l’absence de confort, il décida de tout arrêter pour se poser, armé d’un carnet et d’instruments de musique, au bord du Lac Rose à l’ouest du Sénégal. De cette parenthèse magique, il n’a rapporté que le riff de « Partir », composé sur sa guitare fétiche, une Weissenborn fabriquée sur mesure pour lui par un luthier parisien. Ce voyage, l’air de rien, le remua en profondeur. A son retour en France, Alexandre avait décidé de changer - artistiquement. « Le premier album était léger. La crise n'avait pas encore vraiment frappé. J'avais envie de faire un disque qui colle à l'époque, mais pas en anar le poing levé car je suis quelqu'un de plutôt discret sur mes convictions. » La rencontre avec Olivier Koundouno, l’arrangeur d’Emily Loizeau, sera le catalyseur de cette mue. « Il a remis en question ma musique. Ça a été difficile à entendre, mais c’est sans doute la meilleure chose qui me soit arrivée. » En lui confiant la co-réalisation, Alexandre Kinn fait le bon choix. Il s’entoure également de musiciens aguerris, de préférence polyvalents. « Il y a Emmanuel Marée à la batterie. Il a un son vintage à la Jay Bellerose (Ray La Montagne). Aurélien Calvel et Elise Blanchard à la basse (elle joue avec –M-), Csaba Pilotaï qui joue des guitares et apporte une touche surréaliste, Frédéric Monnier à la contrebasse et Alexandre Léauthaud à l’accordéon. Cédric Ricard a réalisé les arrangements de cuivres et Hugh Coltman, un ami, est venu chanter sur « Take it Easy » ainsi que Neeskens sur « Marins » et « les folliculaires ». Du premier album, le guitariste et chanteur a gardé quelques couleurs blues : un parler-chanté à la Dylan. « J’étais complètement passé à côté. J’y suis venu en regardant Don’t Look Back, le documentaire de Martin Scorsese. Ces deux dernières années, je l’ai écouté constamment. Surtout les trois premiers albums. Et je me suis demandé ce que Dylan écrirait s’il débutait aujourd’hui. J’aime sa verve et ses textes qui parlent de choses brutes. Il me fait penser à Cendrars, à Bukowski, à Fante ». L’harmonica (« Les Folliculaires ») et le dénuement (musical) (« Comme Un mantra ») nous évoquent ainsi l’image du « troubadour » américain. Il y a aussi de la rondeur dans ses chansons. Cette tendresse d’un Fred Neil (« le vent »), probablement la chanson la plus directement Dylanienne ), d’un Bon Iver ou d’une Feist, dont les récents albums l’ont enchanté. Mais la douceur de sa voix ne fait pas oublier la violence qui couve. Dans « J’attends », « c'est Irréversible de Gaspar Noé mais en chanson. » Elle éclate dans « Le Jour où j’ai tué un homme ». « Je suis quelqu'un d'assez pacifiste, voire objecteur de conscience et j'ai voulu dépasser ce stade, pour essayer de me mettre dans la peau de quelqu'un qui aurait tué. J’ai construit cette chanson comme un film ». Idéaliste, Alexandre Kinn rêverait de changer les choses (« Babel », « Messieurs ») et d’en finir avec l’individualisme sauvage pour retrouver des valeurs simples et essentielles : la famille et la nature (« Les Folliculaires », « Famille » « Marins »). Il le fait en mots. A la richesse des ambiances et délicatesse des mélodies répondent des textes à la poésie brute et sans pacotille. « Cet amour pour les mots est venu après une maladie qui m'a cloué au lit, enfant. J'ai commencé à lire et j'ai tout de suite aimé ça : Rimbaud, surtout, puis Verlaine, Hugo, Mallarmé... et je n'ai jamais lâché. Ensuite il y a eu Blaise Cendrars dont le côté routard m’a vraiment plu. C’est un arpenteur du vivant... » C’est d’ailleurs au poète qu’appartiennent les dernières paroles de l’album, dont il lit « Tu es plus belle que le ciel et la mer » extrait des Feuilles de route (1924). « Quand tu aimes il faut partir/Quitte ta femme quitte ton enfant/Quitte ton ami quitte ton amie/Quitte ton amante quitte ton amant/Quand tu aimes il faut partir » Alexandre Kinn est prêt à reprendre la route. Itunes : http://smarturl.it/kinncestbeau http://world.idolweb.fr/17h/alexandre-kinn/si-le-vent-se-leve/3700551747597.html
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Alexandre Kinn : voix - guitares, Management : fabien.strulovici@gmail.com

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