The Trouble Notes

L’histoire de The Trouble Notes commence sur les rives de l’East River à Brooklyn . Un jeune violoniste visionnaire regarde au-delà des lumières de la ville, vers l’inconnu, aspirant à une aventure qui l’emporterait loin de sa chère New York. Après avoir passé les dernières années sur un parcours professionnel intense dans une société d’investissement de Wall Street, Bennet ressentait un sentiment de conflit au plus profond de lui-même. « J’ai passé les premières années de ma vie d’adulte à m’engager dans une carrière qui ne me passionnait pas. Oui, j’avais un statut et un « objectif », mais était-ce vraiment le mien ? », se souvient Bennet. « Mon violon m’appelait, de plus en plus fort chaque jour qui passait, jusqu’à ce que je sache qu’il était temps de me lancer dans ma propre aventure, au rythme de mon propre tambour. Je n’ai découvert que plus tard que c’était Oliver qui jouerait du tambour. » Il s’inspire des carrières de Rodrigo y Gabriela et de Gogol Bordello. Ils n’attendaient pas que les opportunités frappent à leur porte, ils apportaient leur musique directement aux gens. Depuis son bureau, il rêvait de voyager à travers l’Europe et l’Asie, de jouer sa musique dans un groupe appelé « The Trouble Notes ». Bientôt, ces rêves devraient devenir réalité. Armé d’un simple violon et d’une valise , il embarque dans un avion qui lui fera traverser l’Atlantique. À son arrivée à Londres, il commence à chanter dans les rues de la métropole pour se rapprocher de la ville et de ses habitants. « Je suis arrivé à Londres et je ne connaissais personne », raconte Bennet. « J’ai adoré chanter dans les rues de New York, c’était une façon pour moi de rencontrer de nouvelles personnes et de mettre en pratique mes talents d’artiste. Londres s’est avérée être une ville transformatrice dans mon expérience d’artiste. » Après un mois de tournée à Londres, il rencontre le percussionniste local Oliver Maguire. Né dans l’ouest de Londres, Olly a grandi dans une famille rock’n’roll. Son père était un ancien manager de tournée du groupe Motörhead et le jeune Olly a grandi en apprenant ses talents auprès de la légende de la batterie rock Phil « Philthy Animal » Taylor. Et si son amour pour la musique rock était évident, c’est son éducation dans une région riche en immigration culturelle qui allait façonner sa passion pour la musique et les rythmes du monde. « J’ai vu Bennet jouer pour la première fois sur Portobello Road. J’ai grandi sur cette route », se souvient Oliver. « J’avais dit à ma mère peu de temps avant : « Je vais rencontrer quelqu’un d’incroyable et nous allons former un groupe et voyager à travers le monde en jouant de la musique ensemble. » Je ne peux pas expliquer comment je l’ai su, mais c’était une vision. »Leur connexion musicale fut instantanée . Ils voyageèrent ensemble à travers le Royaume-Uni et l’Irlande, et finirent par atterrir dans l’un des épicentres culturels de l’Europe : Berlin, en Allemagne. Comme dans toutes les villes avant eux, ils descendirent immédiatement dans la rue. « Le busking est notre façon de rencontrer de nouvelles personnes », explique Oliver. « Quand nous arrivons quelque part pour la première fois, nous aimons sortir dans un endroit pittoresque et nous connecter avec les gens. Nous déposons une pancarte sur laquelle nous écrivons « Nous sommes The Trouble Notes, connectons-nous ». Nous l’avons fait dans presque toutes les villes où nous sommes allés. » Quelques mois après leur arrivée, ils rencontrent le guitariste Florian Eisenschmidt. Diplômé de la SAE, Florian a passé sa jeunesse à travailler dans des studios d’enregistrement à Berlin. Lorsqu’il a vu Bennet et Oliver jouer pour la première fois, il a été impressionné par leur énergie contagieuse et leurs talents sur leurs instruments.« Honnêtement, j’étais fan d’eux », rigole Florian. « Quand je les ai vus jouer, la première pensée qui m’est venue à l’esprit a été : « Je dois enregistrer ces gars-là ! ». Il y avait quelque chose de vraiment spécial dans la synergie qu’ils avaient. » Cette rencontre qui a commencé par une admiration pour le groupe s’est rapidement traduite par l’ajout d’un troisième membre. Apportant ses compétences d’ingénieur et son style de jeu de guitare énergique, l’ajout de Florian marquerait le dernier élément du noyau du groupe. C’est à ce moment-là que The Trouble Notes est véritablement né. Au cours des années suivantes, ils ont voyagé à travers l’Europe, se produisant dans la rue et saisissant toutes les occasions de se produire. L’arrivée de Stefanie dans leur équipe en tant que vidéaste et co-manager a contribué à consolider leur mission. Les Trouble Notes sont devenues une famille d’artistes itinérants, aspirant à une connexion créative avec leur public et désireux de croiser les traditions culturelles et de combler les fossés. Ils ont construit un réseau remarquable, voyageant de manière durable sans investissement ni financement majeur. « Nous voulions prouver que nous pouvions voyager dans le monde grâce à notre musique », a déclaré Bennet. « Nous voulions prouver à nous-mêmes et à tous nos supporters que l’art et la culture sont incroyablement puissants. Nous voulions nous montrer humbles et nous mettre au niveau de notre public. C’est ce qui a fait notre force : nous avons bénéficié d’une gentillesse remarquable de la part de nos amis et de nos fans. » Après des années passées ensemble sur la route, les choses ont commencé à vraiment exploser. En 2017, une série de vidéos du groupe en train de jouer est devenue virale, amassant des millions de vues et propulsant leur premier EP « Soundtracks from the Street » dans le top 5 des classements iTunes aux États-Unis, en Allemagne, en France et au Canada. Leur premier album studio, « Lose Your Ties », a fait ses débuts dans le top 10 dans des dizaines de pays, a vu des chansons apparaître dans des publicités majeures, des émissions de télévision et des films, et a été acclamé par la critique. L’album Tour a comporté des spectacles à guichets fermés en Amérique du Nord et en Europe, et les a aidés à faire la première partie de leurs héros musicaux Rodrigo y Gabriela dans le cadre de leur tournée « Mettavolution » récompensée par un Grammy.