Emmanuel Pi Djob
Master Class Gospel avec Pi Djob
Culture House
Avenue des Frères Rimbaut 2
Jun 29–30, 2024
10:00 AM GMT+2
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About this concert
Master Class dans le cadre du Tournai Jazz festival.
Les afro-jamaïcains Peter Tosh, Bob Marley, Jimmy Cliff, l’afro-américain Johnny Nash ont les racines de leurs musiques profondément plantées dans la musique Gospel. Tous ont chanté dans des chœurs d’église, dans leur adolescence, ce qui pourrait expliquer la lumière et la puissance particulières qui émanent des œuvres qu’ils ont créées.
Le répertoire Gospelizin’ Kingston est un hommage personnel à ces guerriers de la lumière, en rébellion contre le système, jusqu’à en payer le prix le plus fort, pour certains.
Le répertoire travaillé avec les stagiaires est adapté pour tout niveau de chant, à partir de 12 ans.
Il sera présenté au public le dimanche en fin de stage, le chœur des stagiaires entourant pour l’occasion le PCube Trio.
Échauffement vocal, prise de conscience de son corps, ouverture de son esprit, travail sur la verticalité (être connecté sans se fermer) et l’horizontalité (oser donner et se donner sans se perdre), apprentissage des chants harmonisés à trois voix (Soprano-Alto-Ténor). Les voix de basse-barytons peuvent chanter la partie de soprano ou d’alto, une octave en dessous.
https://www.emmanuelpidjob.com/projets-artistiques-demmanuel-pidjob/master-classes/
Samedi Master Class de 10 à 17h00
Dimanche répétition de 9h00 à 11h00
Concert de restitution de 11h00 à 12h15.
Master Class : 20 € (Inclus accès à tous les concerts du dimanche 30 juin) -
Inscription sur place à la billetterie de la Maison de la culture (Tél: 0032/69.25.30.80) - Pas de réservation en ligne - Nombre de places limité !
(L'accès pour les concerts du dimanche sera distribué aux élèves à l'issue de la répétition du concert de restitution)
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Emmanuel Pi Djob Biography
Homme aux multiples talents, Emmanuel Pi Djob est apprécié et acclamé aussi bien sur le continent africain, qu’en Europe et en Amérique, comme auteur-compositeur inspiré, soliste, directeur de chœur et pédagogue. Sa voix s’est forgée au feu du Gospel africain américain, style dans lequel il a gagné la reconnaissance de ses pairs.
Des Dixie Hummingbirds à Rhoda Scott, en passant par les Five Blind Boys Of Alabama, le groupe Ma Case, Olivier Tshimanga, Doudou Gouiran, Lavelle, le Duke Orchestra, Georges Seba, le Golden Gate Quartet, Liz Mc Comb, Were-Were Liking et le Village Ki-Yi, Ray Lema, Pierre Akendengue, Soriba Kouyaté, Screaming Jay Hawkins ou encore Helen Carter et Gospel Pour Cent Voix… les rencontres et collaborations jalonnent et enrichissent son parcours. Son ouverture à toute forme de musique lui permet d’être invité par des artistes hors du contexte Gospel comme le groupe Rinocérôse ou d’enregistrer du John Adams avec l’Orchestre de Montpellier.
L’histoire débute au Cameroun, quand Emmanuel Pi Djob participe à Yaoundé à la formation du Bayembi’s International, groupe de Gospel panafricain qui rencontrera une jolie célébrité au tournant des années 90. Il quitte ensuite son pays Bassa natal pour s’établir en France et poursuivre l’aventure d’un gospel métissé d’Afrique et d’Amérique, mais aussi d’Europe, à travers les Black & White Gospel Singers devenus entretemps Black & White Xperience. Depuis 2003, il dirige By the Gospel River et il est également à l’origine du chœur Gospelize It! Mais l’aventure musicale actuelle d’Emmanuel Pi Djob s’articule aujourd’hui surtout autour de l’AfroSoul Gang formé avec les deux complices et compagnons de route que sont Bénilde Foko (b) et Séga Seck (dms).
C’est en 2008 qu’Emmanuel Pi Djob publie le premier album sous son nom propre, Seven Minutes, sur la thématique de la peine de mort, et dont le spectacle From Jailnight sera tiré. Après avoir été l’un des initiateurs, depuis les années 90, du renouveau de la musique Gospel en Espagne et en France, à travers de nombreux master class et concerts, il enregistre avec le label espagnol Coda (Temps Record) une série d’albums intitulés Terrassa’s Conversessions, Remember et The Miracle of Life sortis en 2010.
En 2013, il devient demi-finaliste de l’émission The Voice. Il subjugue d’entrée le jury avec son interprétation de Georgia on my mind, et sera plébiscité par le public tout au long de son parcours. Il monte dans la foulée, le spectacle Me and Ray, où il mêle son répertoire à celui de Ray Charles qui est l’une de ses influences majeures.
A partir de 2015, il prépare l’album Get on Board!, comme une invitation à monter à bord de son univers empreint d’une humanité à la fois tolérante, sensuelle et militante et sillonne les routes de France (Solidays, New Morning, divers festivals de Jazz et World Music) et plus largement (Europe, Maghreb, Afrique Sub-saharienne), mêlant des prestations intimistes à de grands concerts spectaculaires. C’est ainsi qu’en janvier 2016, il rassemble plus de trois mille spectateurs au Zénith de Montpellier, autour de son AfroSoull Gang élargi et accompagné de l’AfroSoul Mass Choir et ses 500 chanteurs. L’ensemble a été capté et sert d’ailleurs de matière à un DVD publié en fin d’année.
Résolument Afrosoul, l’album qui en sort, distribué en version numérique par le label américain A-Venture Music, alterne les climats entre R&B, Gospel, Reggae, Afrobeat et même quelques titres en français, pour faire encore mieux passer son message auprès des auditeurs francophones. L’essentiel des titres est enregistré live par AfroSoul Gang, avec quelques invités de renom dont William Galison, N'Fally Kouyaté, le Kelin-Kelin Orchestra, Francis Lalanne ou encore Wally Badarou.
Fort de ces succès, il sort en 2017 une version augmentée de Get on Board!, encore plus dynamique que la première, et incluant des titres inédits jusque-là, toujours chez A-Venture Music. Et déjà, il travaille à l’album suivant. Sans trop dévoiler ce qu’il contiendra, on peut tout de même annoncer qu’il s’appellera Exile Radio et verra la participation en invité de l’immense Manu Dibango.
Read MoreDes Dixie Hummingbirds à Rhoda Scott, en passant par les Five Blind Boys Of Alabama, le groupe Ma Case, Olivier Tshimanga, Doudou Gouiran, Lavelle, le Duke Orchestra, Georges Seba, le Golden Gate Quartet, Liz Mc Comb, Were-Were Liking et le Village Ki-Yi, Ray Lema, Pierre Akendengue, Soriba Kouyaté, Screaming Jay Hawkins ou encore Helen Carter et Gospel Pour Cent Voix… les rencontres et collaborations jalonnent et enrichissent son parcours. Son ouverture à toute forme de musique lui permet d’être invité par des artistes hors du contexte Gospel comme le groupe Rinocérôse ou d’enregistrer du John Adams avec l’Orchestre de Montpellier.
L’histoire débute au Cameroun, quand Emmanuel Pi Djob participe à Yaoundé à la formation du Bayembi’s International, groupe de Gospel panafricain qui rencontrera une jolie célébrité au tournant des années 90. Il quitte ensuite son pays Bassa natal pour s’établir en France et poursuivre l’aventure d’un gospel métissé d’Afrique et d’Amérique, mais aussi d’Europe, à travers les Black & White Gospel Singers devenus entretemps Black & White Xperience. Depuis 2003, il dirige By the Gospel River et il est également à l’origine du chœur Gospelize It! Mais l’aventure musicale actuelle d’Emmanuel Pi Djob s’articule aujourd’hui surtout autour de l’AfroSoul Gang formé avec les deux complices et compagnons de route que sont Bénilde Foko (b) et Séga Seck (dms).
C’est en 2008 qu’Emmanuel Pi Djob publie le premier album sous son nom propre, Seven Minutes, sur la thématique de la peine de mort, et dont le spectacle From Jailnight sera tiré. Après avoir été l’un des initiateurs, depuis les années 90, du renouveau de la musique Gospel en Espagne et en France, à travers de nombreux master class et concerts, il enregistre avec le label espagnol Coda (Temps Record) une série d’albums intitulés Terrassa’s Conversessions, Remember et The Miracle of Life sortis en 2010.
En 2013, il devient demi-finaliste de l’émission The Voice. Il subjugue d’entrée le jury avec son interprétation de Georgia on my mind, et sera plébiscité par le public tout au long de son parcours. Il monte dans la foulée, le spectacle Me and Ray, où il mêle son répertoire à celui de Ray Charles qui est l’une de ses influences majeures.
A partir de 2015, il prépare l’album Get on Board!, comme une invitation à monter à bord de son univers empreint d’une humanité à la fois tolérante, sensuelle et militante et sillonne les routes de France (Solidays, New Morning, divers festivals de Jazz et World Music) et plus largement (Europe, Maghreb, Afrique Sub-saharienne), mêlant des prestations intimistes à de grands concerts spectaculaires. C’est ainsi qu’en janvier 2016, il rassemble plus de trois mille spectateurs au Zénith de Montpellier, autour de son AfroSoull Gang élargi et accompagné de l’AfroSoul Mass Choir et ses 500 chanteurs. L’ensemble a été capté et sert d’ailleurs de matière à un DVD publié en fin d’année.
Résolument Afrosoul, l’album qui en sort, distribué en version numérique par le label américain A-Venture Music, alterne les climats entre R&B, Gospel, Reggae, Afrobeat et même quelques titres en français, pour faire encore mieux passer son message auprès des auditeurs francophones. L’essentiel des titres est enregistré live par AfroSoul Gang, avec quelques invités de renom dont William Galison, N'Fally Kouyaté, le Kelin-Kelin Orchestra, Francis Lalanne ou encore Wally Badarou.
Fort de ces succès, il sort en 2017 une version augmentée de Get on Board!, encore plus dynamique que la première, et incluant des titres inédits jusque-là, toujours chez A-Venture Music. Et déjà, il travaille à l’album suivant. Sans trop dévoiler ce qu’il contiendra, on peut tout de même annoncer qu’il s’appellera Exile Radio et verra la participation en invité de l’immense Manu Dibango.
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