J.Aubertin
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Past
MAR
02
2020
Clermont-Ferrand, France
La Cooperative de Mai
I Was There
FEB
26
2020
La Bourboule, France
Théâtre Municipale
I Was There
JAN
25
2020
Saint-Étienne, France
Le FIL
I Was There
NOV
21
2019
ST ETIENNE, France
le FIL
I Was There
NOV
17
2019
Geel, Belgium
De Wolwinkel
I Was There
NOV
16
2019
Kampen, Netherlands
The Moonshiners
I Was There
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About J.Aubertin
On les reconnaît de loin. C'est parfois le chapeau, la démarche, le sourire en coin, le Denim, les carreaux, parfois tout à la fois, parfois rien. Un petit quelque chose qui fait dire : celui-là, il vient peut-être de Vesoul, de Belleville ou de Clermont-Ferrand, mais il a lʼOuest dans la peau. LʼOklahoma, le Texas. La connaissance de la poussière, de la musique, des mythes américains. Ils ne sont pas très nombreux en France, à connaître lʼimplacable poésie de Hank Williams, de Townes Van Zandt, de Guy Clark, de John Prine, ou plus récemment de John Moreland, Colter Wall, ou John Fullbright. Encore moins nombreux à prendre leur guitare et à leur emboîter le pas.
Après avoir sillonné les États-Unis en première partie de Willy Tea Taylor en 2017 et l'Europe en solo en 2018 (Belgique, Pays-Bas, Allemagne, Suisse), J.Aubertin sort en avril 2019 son deuxième EP ‘Whispers In The Wind‘, enregistré au Studio Magneto à Lyon par Frédéric Pellerin (They Call Me Rico, Rico & The Escape) et Giles Davenport.
On pourrait prétendre qu’il n’est pas né sur le bon continent. Ses sonorités rêvent d’Amérique, et sa culture musicale, bien qu’il soit né en Auvergne, est celle d’un pur natif U.S. qui aurait baigné dans les bourbons de John Prine et de Townes Von Zandt. Une géographie des grands espaces qu’il retrouve dans les plaines volcaniques de sa région natale. Il peut y avoir un côté dérangeant au premier abord, si l’on se méprend et que l’on refuse l’authenticité à J.Aubertin, trop français pour s’accorder le droit de sonner aussi américain, trop jeune pour avoir le droit de sonner aussi 70’s. Pourtant, son deuxième EP l’affirme plus encore que le précédent dans cette quête d’authenticité et cette interdiction de compromis. Non qu’il refuse les sophistications : bandes magnétiques, ambrotype, il n’y a pas ici de mode vintage, mais plutôt une quête. Un retour à la "goldrush" de Neil Young, une ruée vers l’or ou le métal précieux serait un monde fuyant que l’on voudrait maintenir. Comme s’il voulait rester fidèle aux grands auteurs folk, et continuer à écrire cette histoire, même à plusieurs milliers de kilomètres, en balayant d’un revers de main le jeu des tendances musicales.
www.j-aubertin.com
https://j-aubertin.bandcamp.com
Après avoir sillonné les États-Unis en première partie de Willy Tea Taylor en 2017 et l'Europe en solo en 2018 (Belgique, Pays-Bas, Allemagne, Suisse), J.Aubertin sort en avril 2019 son deuxième EP ‘Whispers In The Wind‘, enregistré au Studio Magneto à Lyon par Frédéric Pellerin (They Call Me Rico, Rico & The Escape) et Giles Davenport.
On pourrait prétendre qu’il n’est pas né sur le bon continent. Ses sonorités rêvent d’Amérique, et sa culture musicale, bien qu’il soit né en Auvergne, est celle d’un pur natif U.S. qui aurait baigné dans les bourbons de John Prine et de Townes Von Zandt. Une géographie des grands espaces qu’il retrouve dans les plaines volcaniques de sa région natale. Il peut y avoir un côté dérangeant au premier abord, si l’on se méprend et que l’on refuse l’authenticité à J.Aubertin, trop français pour s’accorder le droit de sonner aussi américain, trop jeune pour avoir le droit de sonner aussi 70’s. Pourtant, son deuxième EP l’affirme plus encore que le précédent dans cette quête d’authenticité et cette interdiction de compromis. Non qu’il refuse les sophistications : bandes magnétiques, ambrotype, il n’y a pas ici de mode vintage, mais plutôt une quête. Un retour à la "goldrush" de Neil Young, une ruée vers l’or ou le métal précieux serait un monde fuyant que l’on voudrait maintenir. Comme s’il voulait rester fidèle aux grands auteurs folk, et continuer à écrire cette histoire, même à plusieurs milliers de kilomètres, en balayant d’un revers de main le jeu des tendances musicales.
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Genres:
Americana, Folk, Songwriter
Hometown:
Clermont-Ferrand, France
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On les reconnaît de loin. C'est parfois le chapeau, la démarche, le sourire en coin, le Denim, les carreaux, parfois tout à la fois, parfois rien. Un petit quelque chose qui fait dire : celui-là, il vient peut-être de Vesoul, de Belleville ou de Clermont-Ferrand, mais il a lʼOuest dans la peau. LʼOklahoma, le Texas. La connaissance de la poussière, de la musique, des mythes américains. Ils ne sont pas très nombreux en France, à connaître lʼimplacable poésie de Hank Williams, de Townes Van Zandt, de Guy Clark, de John Prine, ou plus récemment de John Moreland, Colter Wall, ou John Fullbright. Encore moins nombreux à prendre leur guitare et à leur emboîter le pas.
Après avoir sillonné les États-Unis en première partie de Willy Tea Taylor en 2017 et l'Europe en solo en 2018 (Belgique, Pays-Bas, Allemagne, Suisse), J.Aubertin sort en avril 2019 son deuxième EP ‘Whispers In The Wind‘, enregistré au Studio Magneto à Lyon par Frédéric Pellerin (They Call Me Rico, Rico & The Escape) et Giles Davenport.
On pourrait prétendre qu’il n’est pas né sur le bon continent. Ses sonorités rêvent d’Amérique, et sa culture musicale, bien qu’il soit né en Auvergne, est celle d’un pur natif U.S. qui aurait baigné dans les bourbons de John Prine et de Townes Von Zandt. Une géographie des grands espaces qu’il retrouve dans les plaines volcaniques de sa région natale. Il peut y avoir un côté dérangeant au premier abord, si l’on se méprend et que l’on refuse l’authenticité à J.Aubertin, trop français pour s’accorder le droit de sonner aussi américain, trop jeune pour avoir le droit de sonner aussi 70’s. Pourtant, son deuxième EP l’affirme plus encore que le précédent dans cette quête d’authenticité et cette interdiction de compromis. Non qu’il refuse les sophistications : bandes magnétiques, ambrotype, il n’y a pas ici de mode vintage, mais plutôt une quête. Un retour à la "goldrush" de Neil Young, une ruée vers l’or ou le métal précieux serait un monde fuyant que l’on voudrait maintenir. Comme s’il voulait rester fidèle aux grands auteurs folk, et continuer à écrire cette histoire, même à plusieurs milliers de kilomètres, en balayant d’un revers de main le jeu des tendances musicales.
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On pourrait prétendre qu’il n’est pas né sur le bon continent. Ses sonorités rêvent d’Amérique, et sa culture musicale, bien qu’il soit né en Auvergne, est celle d’un pur natif U.S. qui aurait baigné dans les bourbons de John Prine et de Townes Von Zandt. Une géographie des grands espaces qu’il retrouve dans les plaines volcaniques de sa région natale. Il peut y avoir un côté dérangeant au premier abord, si l’on se méprend et que l’on refuse l’authenticité à J.Aubertin, trop français pour s’accorder le droit de sonner aussi américain, trop jeune pour avoir le droit de sonner aussi 70’s. Pourtant, son deuxième EP l’affirme plus encore que le précédent dans cette quête d’authenticité et cette interdiction de compromis. Non qu’il refuse les sophistications : bandes magnétiques, ambrotype, il n’y a pas ici de mode vintage, mais plutôt une quête. Un retour à la "goldrush" de Neil Young, une ruée vers l’or ou le métal précieux serait un monde fuyant que l’on voudrait maintenir. Comme s’il voulait rester fidèle aux grands auteurs folk, et continuer à écrire cette histoire, même à plusieurs milliers de kilomètres, en balayant d’un revers de main le jeu des tendances musicales.
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