The Dystopians
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About The Dystopians
The Dystopians est un groupe héraultais et gardois fondé en 2018, à tendance rock, composé de Nicolas Duboc (chant et guitare), de Vincent Paul-Victor(guitare lead et chœurs), de Nicolas Féron (bassiste) et de Frédéric Gilles (batterie).
Inspiré par des artistes tels que Saez, Muse, Radiohead, Black Keys, et bien d’autres, The Dystopians propose un univers mêlant poésie et onirisme, avec un regard parfois ethnologique et sarcastique. Au travers de textes écrits en français et en anglais, le groupe questionne l’actualité, la société et s’interroge sur ce qu’il en restera. The Dystopians élabore un concept artistique esthétiquement très travaillé tant sur le plan visuel que musical, où se mêlent les sonorités fondatrices d’un rock aux guitares saturées, une instrumentation parfois orchestrale et n’hésite pas à signer des morceaux très épurés.
L’histoire de « Time to Move »
Sous la plume de Nicolas Duboc et de Fabien Levielle, l’album a vu le jour en pleine période de Covid. Côté musical, l’ensemble du groupe a composé et arrangé ce premier opus qui, à l’écoute, fait référence à des groupes mythiques du rock tout en apportant un son moderne d’une belle puissance. L’énergie qui s’y dégage reflète l’entente qui règne entre les membres du groupe: une aventure humaine empreinte d’amitié et d’amour de la musique.
Sur la pochette, un enfant porte un masque à gaz, tenant un mystérieux ballon rouge dans une main, sa peluche dans l’autre. Elle est seule, au milieu d’un environnement dystopique, irrespirable, oppressant, bien loin de l’enfance dans laquelle elle devrait baigner. Se trouvant sur l’héliport du toit d’un immeuble, a-t-elle une solution pour s’échapper de cet enfer?
Confinement oblige, une partie des morceaux a été enregistrée depuis le domicile de chacun et l’autre partie l’a été dans les locaux professionnels de Nicolas Duboc. Deux morceaux (« Time to Move » et « Exhibition ») ont d’ailleurs été enregistrés sans jamais avoir été répétés auparavant. Fabien Levielle a créé toutes les parties de batterie directement sur ordinateur (le groupe n’ayant plus de batteur à ce moment-là) puis a assuré le mixage de l’ensemble des titres.
Aujourd’hui le groupe travaille sur un deuxième album et cherche à multiplier les différentes expériences scéniques.
Inspiré par des artistes tels que Saez, Muse, Radiohead, Black Keys, et bien d’autres, The Dystopians propose un univers mêlant poésie et onirisme, avec un regard parfois ethnologique et sarcastique. Au travers de textes écrits en français et en anglais, le groupe questionne l’actualité, la société et s’interroge sur ce qu’il en restera. The Dystopians élabore un concept artistique esthétiquement très travaillé tant sur le plan visuel que musical, où se mêlent les sonorités fondatrices d’un rock aux guitares saturées, une instrumentation parfois orchestrale et n’hésite pas à signer des morceaux très épurés.
L’histoire de « Time to Move »
Sous la plume de Nicolas Duboc et de Fabien Levielle, l’album a vu le jour en pleine période de Covid. Côté musical, l’ensemble du groupe a composé et arrangé ce premier opus qui, à l’écoute, fait référence à des groupes mythiques du rock tout en apportant un son moderne d’une belle puissance. L’énergie qui s’y dégage reflète l’entente qui règne entre les membres du groupe: une aventure humaine empreinte d’amitié et d’amour de la musique.
Sur la pochette, un enfant porte un masque à gaz, tenant un mystérieux ballon rouge dans une main, sa peluche dans l’autre. Elle est seule, au milieu d’un environnement dystopique, irrespirable, oppressant, bien loin de l’enfance dans laquelle elle devrait baigner. Se trouvant sur l’héliport du toit d’un immeuble, a-t-elle une solution pour s’échapper de cet enfer?
Confinement oblige, une partie des morceaux a été enregistrée depuis le domicile de chacun et l’autre partie l’a été dans les locaux professionnels de Nicolas Duboc. Deux morceaux (« Time to Move » et « Exhibition ») ont d’ailleurs été enregistrés sans jamais avoir été répétés auparavant. Fabien Levielle a créé toutes les parties de batterie directement sur ordinateur (le groupe n’ayant plus de batteur à ce moment-là) puis a assuré le mixage de l’ensemble des titres.
Aujourd’hui le groupe travaille sur un deuxième album et cherche à multiplier les différentes expériences scéniques.
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Genres:
Rock
Band Members:
Frédéric GILLES, Vincent PAUL-VICTOR, Nicolas DUBOC, Nicolas FERON
Hometown:
Castelnau-le-Lez, France
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The Dystopians est un groupe héraultais et gardois fondé en 2018, à tendance rock, composé de Nicolas Duboc (chant et guitare), de Vincent Paul-Victor(guitare lead et chœurs), de Nicolas Féron (bassiste) et de Frédéric Gilles (batterie).
Inspiré par des artistes tels que Saez, Muse, Radiohead, Black Keys, et bien d’autres, The Dystopians propose un univers mêlant poésie et onirisme, avec un regard parfois ethnologique et sarcastique. Au travers de textes écrits en français et en anglais, le groupe questionne l’actualité, la société et s’interroge sur ce qu’il en restera. The Dystopians élabore un concept artistique esthétiquement très travaillé tant sur le plan visuel que musical, où se mêlent les sonorités fondatrices d’un rock aux guitares saturées, une instrumentation parfois orchestrale et n’hésite pas à signer des morceaux très épurés.
L’histoire de « Time to Move »
Sous la plume de Nicolas Duboc et de Fabien Levielle, l’album a vu le jour en pleine période de Covid. Côté musical, l’ensemble du groupe a composé et arrangé ce premier opus qui, à l’écoute, fait référence à des groupes mythiques du rock tout en apportant un son moderne d’une belle puissance. L’énergie qui s’y dégage reflète l’entente qui règne entre les membres du groupe: une aventure humaine empreinte d’amitié et d’amour de la musique.
Sur la pochette, un enfant porte un masque à gaz, tenant un mystérieux ballon rouge dans une main, sa peluche dans l’autre. Elle est seule, au milieu d’un environnement dystopique, irrespirable, oppressant, bien loin de l’enfance dans laquelle elle devrait baigner. Se trouvant sur l’héliport du toit d’un immeuble, a-t-elle une solution pour s’échapper de cet enfer?
Confinement oblige, une partie des morceaux a été enregistrée depuis le domicile de chacun et l’autre partie l’a été dans les locaux professionnels de Nicolas Duboc. Deux morceaux (« Time to Move » et « Exhibition ») ont d’ailleurs été enregistrés sans jamais avoir été répétés auparavant. Fabien Levielle a créé toutes les parties de batterie directement sur ordinateur (le groupe n’ayant plus de batteur à ce moment-là) puis a assuré le mixage de l’ensemble des titres.
Aujourd’hui le groupe travaille sur un deuxième album et cherche à multiplier les différentes expériences scéniques.
Inspiré par des artistes tels que Saez, Muse, Radiohead, Black Keys, et bien d’autres, The Dystopians propose un univers mêlant poésie et onirisme, avec un regard parfois ethnologique et sarcastique. Au travers de textes écrits en français et en anglais, le groupe questionne l’actualité, la société et s’interroge sur ce qu’il en restera. The Dystopians élabore un concept artistique esthétiquement très travaillé tant sur le plan visuel que musical, où se mêlent les sonorités fondatrices d’un rock aux guitares saturées, une instrumentation parfois orchestrale et n’hésite pas à signer des morceaux très épurés.
L’histoire de « Time to Move »
Sous la plume de Nicolas Duboc et de Fabien Levielle, l’album a vu le jour en pleine période de Covid. Côté musical, l’ensemble du groupe a composé et arrangé ce premier opus qui, à l’écoute, fait référence à des groupes mythiques du rock tout en apportant un son moderne d’une belle puissance. L’énergie qui s’y dégage reflète l’entente qui règne entre les membres du groupe: une aventure humaine empreinte d’amitié et d’amour de la musique.
Sur la pochette, un enfant porte un masque à gaz, tenant un mystérieux ballon rouge dans une main, sa peluche dans l’autre. Elle est seule, au milieu d’un environnement dystopique, irrespirable, oppressant, bien loin de l’enfance dans laquelle elle devrait baigner. Se trouvant sur l’héliport du toit d’un immeuble, a-t-elle une solution pour s’échapper de cet enfer?
Confinement oblige, une partie des morceaux a été enregistrée depuis le domicile de chacun et l’autre partie l’a été dans les locaux professionnels de Nicolas Duboc. Deux morceaux (« Time to Move » et « Exhibition ») ont d’ailleurs été enregistrés sans jamais avoir été répétés auparavant. Fabien Levielle a créé toutes les parties de batterie directement sur ordinateur (le groupe n’ayant plus de batteur à ce moment-là) puis a assuré le mixage de l’ensemble des titres.
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