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Past

DEC
17
2016
Marche-En-Famenne, Belgium
Centre culturel-Première partie des Innocents
I Was There
DEC
08
2016
Palais, France
Grande Synthe-Première partie des Innocents
I Was There
DEC
07
2016
Sucy-En-Brie, France
Espace Jean-Marie Poirier-Première partie des Innocents
I Was There
DEC
04
2016
Carhaix, France
Espace Glenmor-Première Partie des Innocents
I Was There
DEC
03
2016
Meudon, France
Musique sans Frontières-Concert de solidarité pour les réfugiés
I Was There
NOV
26
2016
Bordeaux, France
Théâtre du Casino-Première partie des Innocents
I Was There
NOV
25
2016
Biganos, France
Espace Culturel Lucien Mounaix -Première partie des Innocents
I Was There
NOV
18
2016
Enghien, France
Enghien Théâtre-Première partie des Innocents
I Was There
NOV
17
2016
Les Lilas, France
LE TRITON-Pont des Artistes
I Was There
NOV
05
2016
Lens, France
Le Colisée-Première partie des Innocents-@adami.fr
I Was There
OCT
29
2016
Halle, Germany
Festival Filmmusiktage with the Staatskapelle Orchestra
I Was There
OCT
15
2016
Caudry, France
Scènes Mitoyennes-Première partie des Innocents
I Was There
OCT
14
2016
Stains, France
Théâtre Paul Eluard-Première partie des Innocents
I Was There
OCT
13
2016
Checy, France
Espace George Sand, première partie des Innocents
I Was There
SEP
23
2016
Paris, France
La Java-Soirée Tube à Essai-Orchestrée par Mélanie Bauer
I Was There
APR
06
2016
Paris, France
Première partie des Innocents! Les Folies Bergères
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JUN
16
2015
Montreal, Canada
Francofolies de Montréal, Scène Sirus XM
I Was There
JUN
15
2015
Montreal, Canada
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MAY
13
2015
Lignieres, France
Les Bains Douches
I Was There
MAR
06
2015
Saint Brieuc, France
LA CITROUILLE
I Was There
DEC
11
2014
Vernouillet, France
L'Atelier à spectacles
I Was There
NOV
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2014
St Jean De La Ruelle, France
SALLE BERNARD MILLION
I Was There
NOV
04
2014
Portes-Lès-Valence, France
TRAIN THÉÂTRE
I Was There
OCT
25
2014
Cressier, Switzerland
SALLE VALLIER
I Was There
OCT
19
2014
Liévin, France
CENTRE ARC-EN-CIEL
I Was There
OCT
16
2014
Paris, France
CAFÉ de la PRESSE
I Was There
SEP
20
2014
Paris, France
LE PAN PIPER
I Was There
JUL
14
2014
La Rochelle, France
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I Was There
JUN
03
2014
Paris, France
Bataclan
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MAY
12
2014
Paris, France
LE RÉSERVOIR
I Was There
APR
11
2014
Paris, France
Trabendo
I Was There
APR
03
2014
Saint-Mard-De-Reno, France
BAR LE LION D'OR
I Was There
APR
02
2014
Bazoches-Sur-Hoëne, France
BAR DES CHARMILLES
I Was There
APR
01
2014
Mortagne-Au-Perche, France
CARRÉ DU PERCHE
I Was There
MAR
28
2014
La Rochelle, France
SALLE DU CHANTIER DES FRANCOS (ESPLANADE SAINT-JEAN D'ACRE)
I Was There
MAR
20
2014
St Martin De Crau, France
LE GALET
I Was There
APR
16
2013
Paris, France
Les Trois Baudets
I Was There
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About Constance Amiot

C’est sur un axe à la fois imaginaire et révélateur des différentes latitudes de son histoire personnelle que Constance Amiot a choisi de poser le décor de son quatrième album. Un « 12ème Parallèle » imprécis, au nord duquel se situe pourtant le Cameroun, où elle a passé les premières années de son enfance, tandis qu’au sud se trouve Madagascar, l’un des berceaux d’une famille éparpillée dont elle constitue le rameau le plus voyageur. La cloisonner à l’intérieur des frontières de la chanson française, même la plus sophistiquée, serait donc la pire des méprises lorsqu’on sait qu’elle débarqua en France à l’âge de 22 ans sans aucune chanson locale en mémoire. C’est plus volontiers dans les bars de Baltimore qu’elle fit son apprentissage de folk singer à chevelure fauve et à voix minérale, dans ce Maryland où son père économiste a exercé la plus longue de ses missions. Française d’Afrique ou d’Amérique, peu importe, puisqu’elle est faite naturellement de ces parallèles multiples qui sillonnent le globe et nourrissent une écriture qui évite les points d’ancrage trop profonds et les encrages unicolores. Constance chante ces « villes impalpables » et évoque souvent comme source principale d’inspiration ces grands espaces vierges qui lui tenaient lieu autrefois d’horizon. Son mémoire d’étude portait sur « le rôle du soleil dans le western », et outre l’image des canyons vertigineux c’est précisément cette luminosité solaire, ombrages compris, qu’elle a su capturer depuis toujours à travers ses compositions. Ici, on fit connaissance avec cette fille du vent et des plaines sur l’album Fairytale, en 2007. Elle y parlait déjà du « Bout du monde » en cherchant sa voix parmi les ramifications du folk anglo-saxon. Quatre ans auparavant, elle avait déjà publié un disque autoproduit, « Whisperwood », empli de promesses qui ne demandaient qu’à éclore. Elle avait déjà un style, suffisamment élastique pour le prêter à des exercices inhabituels, comme lorsque son label de l’époque, Tôt Ou Tard, lui suggéra d’enregistrer en anglais l’album d’un de ses comparses d’écurie, La Tendresse du fou de Da Silva. Ce sera « Once twice » (2011), une réappropriation totale qui frustrait toutefois sa nature profonde de songwritrice. Libérée de son contrat après avoir mené à bien cette curieuse mission schizophrène, Constance a ensuite enregistré dans l’intimité un ep, « Blue green tomorrows » (2012) qui constituait la matrice de « 12ème Parallèle » et annonçait de prometteurs lendemains. Mais ce sont des retrouvailles impromptues avec un ami musicien un peu perdu de vue, Julien Gaulier du groupe Hey Hey My My, qui vont bouleverser légèrement le cours naturel des choses sur lequel elle avait prévu de laisser dériver ses nouvelles chansons. Au premier manteau folk, elle songe alors à rajouter des accessoires plus pop, des franges de cow-girl, voire des guirlandes électriques, n’hésite pas à chambouler certaines habitudes, voire à repartir de zéro. A propos de sa collaboration avec Julien, elle parle de « peinture fraîche » et d’une certaine insouciance de débutante retrouvée, d’un désir d’échapper à une empreinte qui correspond à merveille à son goût des voyages et des perpétuels déracinements. « 12ème Parallèle », ce sont donc douze chansons aux vies parallèles qui se rejoignent toutefois pour former une élégante mappemonde à la cartographie singulière, en français et en anglais ourlées dans une même étoffe. Réalisateur et arrangeur de l’album, Julien Gaulier a eu la bonne idée d’amener avec lui une garde rapprochée bien affutée, celle de son projet parallèle « Mother of Two », à savoir le bassiste Manu Ralambo et le batteur Colin Russeil, par ailleurs percussionniste de Gaëtan Roussel. Autour de ce noyau, les guitares en fils fragiles de Constance croisent celles plus robustes de Julien, des cuivres et des claviers s’immiscent à tâtons et c’est une véritable dynamique de groupe qui se met en marche pour donner plus d’élan et d’urgence qu’auparavant à des compositions qui n’attendaient visiblement que ça. Moins passive et contemplative, l’écriture de Constance Amiot s’est ainsi légèrement endurcie, en gardant suffisamment de souplesse pour ne jamais sembler subir d’outrages trop violents. Les inflexions country de « Overdrive », avec sa rythmique en petits galops, renvoient à son Amérique de cœur, mais dans les contre-allées de « Montparnasse » on peut aussi entendre l’écho du Vertige de l’amour de Bashung. Totalement à son aise dans l’endossement de rôles différents - en chanteuse grave et passionnelle sur « To all » ou en diseuse d’aventures plus légères sur « Manhattan » -, Constance a su trouver le ton juste, sans trop en faire, pour habiter ces chansons contrastées et les incarner jusqu’au bout des ongles. Si son éternel complice Jérôme Attal lui a encore écrit certains textes (le déchirant « Les Jours », « Montparnasse », « Manhattan »), si la nonchalance vocale de Jipé Nataf lui donne la réplique sur « Résonances », cet album est avant tout celui d’une artiste affranchie, en parfaire maîtrise de son art musical et narratif, que l’on semble redécouvrir sous un jour nouveau. Nouvel album / New album "12ème parallèle" (2014)
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Genres:
French, International, Pop, Folk

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C’est sur un axe à la fois imaginaire et révélateur des différentes latitudes de son histoire personnelle que Constance Amiot a choisi de poser le décor de son quatrième album. Un « 12ème Parallèle » imprécis, au nord duquel se situe pourtant le Cameroun, où elle a passé les premières années de son enfance, tandis qu’au sud se trouve Madagascar, l’un des berceaux d’une famille éparpillée dont elle constitue le rameau le plus voyageur. La cloisonner à l’intérieur des frontières de la chanson française, même la plus sophistiquée, serait donc la pire des méprises lorsqu’on sait qu’elle débarqua en France à l’âge de 22 ans sans aucune chanson locale en mémoire. C’est plus volontiers dans les bars de Baltimore qu’elle fit son apprentissage de folk singer à chevelure fauve et à voix minérale, dans ce Maryland où son père économiste a exercé la plus longue de ses missions. Française d’Afrique ou d’Amérique, peu importe, puisqu’elle est faite naturellement de ces parallèles multiples qui sillonnent le globe et nourrissent une écriture qui évite les points d’ancrage trop profonds et les encrages unicolores. Constance chante ces « villes impalpables » et évoque souvent comme source principale d’inspiration ces grands espaces vierges qui lui tenaient lieu autrefois d’horizon. Son mémoire d’étude portait sur « le rôle du soleil dans le western », et outre l’image des canyons vertigineux c’est précisément cette luminosité solaire, ombrages compris, qu’elle a su capturer depuis toujours à travers ses compositions. Ici, on fit connaissance avec cette fille du vent et des plaines sur l’album Fairytale, en 2007. Elle y parlait déjà du « Bout du monde » en cherchant sa voix parmi les ramifications du folk anglo-saxon. Quatre ans auparavant, elle avait déjà publié un disque autoproduit, « Whisperwood », empli de promesses qui ne demandaient qu’à éclore. 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Au premier manteau folk, elle songe alors à rajouter des accessoires plus pop, des franges de cow-girl, voire des guirlandes électriques, n’hésite pas à chambouler certaines habitudes, voire à repartir de zéro. A propos de sa collaboration avec Julien, elle parle de « peinture fraîche » et d’une certaine insouciance de débutante retrouvée, d’un désir d’échapper à une empreinte qui correspond à merveille à son goût des voyages et des perpétuels déracinements. « 12ème Parallèle », ce sont donc douze chansons aux vies parallèles qui se rejoignent toutefois pour former une élégante mappemonde à la cartographie singulière, en français et en anglais ourlées dans une même étoffe. Réalisateur et arrangeur de l’album, Julien Gaulier a eu la bonne idée d’amener avec lui une garde rapprochée bien affutée, celle de son projet parallèle « Mother of Two », à savoir le bassiste Manu Ralambo et le batteur Colin Russeil, par ailleurs percussionniste de Gaëtan Roussel. 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