Bruno Guglielmi

Bruno GUGLIELMI est caché là, au milieu des gens et il observe. Même si Bruno Guglielmi a un nom de famille difficile à prononcer, il a décidé de ne pas prendre de pseudo. Répétez : GU-GLI-EL-MI Il sort quand il pleut et pleure devant les pubs pour internet illimité. Il ne supporte pas les gens qui pensent donner de l’emphase à leur propos en employant l’adverbe « juste » à tort et à travers. Du genre : « c’est juste incroyable » (sauf quand c’est au sujet de ses chansons …) Il aime le tennis, d’ailleurs il a vraiment progressé en revers. Il bosse aujourd'hui le coup droit lifté. Il mange au Mac Do environ une fois par mois et le regrette après. A chaque fois. Il a un chat qui s’appelle François Charon. Il admire Desproges et les Beatles. Il voudrait être une rock star. Il aurait voulu être Frédéric Beigbeder, être publicitaire puis écrire des romans. « Lui c’est une vraie rock star. » Début 2012, c'est grâce à son premier album auto-produit qu'il est repéré par Maxime LE FORESTIER. Ce dernier l'invite au festival Les Nuits de Champagne où il fait la première partie de Philippe LAFONTAINE. Mai 2012, son titre "le rire des balançoires" fait partie de la Compil vs Cancer 2012 dont les bénéfices sont au profit de la Ligue contre Le Cancer. En 2013 il est demi-finaliste du prix Georges MOUSTAKI. Septembre 2013, Maxime LE FORESTIER l'invite pour deux premières parties de son spectacle au Casino de Paris. Mars 2014, il est finaliste du Prix Léo FERRÉ "Les Mémoires de la Mer" avec sa reprise de la chanson "Rotterdam". Après un EP en juin, il sort son deuxième album en septembre 2014. Certains des titres de cet album ont été écrits en collaboration avec Arthur LE FORESTIER. Bruno GUGLIELMI chante nos révoltes et nos désillusions. Il fait des petits Polaroïds de nos histoires d'amour, de nos histoires de cul et ... des pigeons. Soyez curieux, écoutez-le ! Homo sapiens bruyant