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Twin Twin Oh YeahVerified

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About Twin Twin Oh Yeah

On pourrait parler directement de musique parce que les nouvelles chansons de TWIN TWIN parlent d’elles même. Pourtant il faut d‘abord qu’on s’arrête un instant sur l’histoire de la création de ce nouvel album, parce qu’elle est forte, unique et singulière. On s’était pris des seaux de merde de la part des médias. Pas tous, mais quand même. Personne n’avait compris notre chanson à l’eurovision, et surtout notre dernière place, qui pour nous sonnait pourtant comme une victoire. Sebastien Tellier avait dit « être dernier à l’eurovision c’est comme arriver premier dans la vraie vie ». On était donc de retour dans la vraie vie. Et dans la vraie vie on était un groupe qui avait fait plus de 200 concerts et qui cherchait à faire un nouvel album. Pour ça il fallait qu’on bouge, qu’on voyage, qu’on se réinvente. On a quitté Paris et on s’est envolé pour NEW YORK avec un point de chute et aucun contact. Comme ça, au moins, on était loin de nos habitudes, et puisque la routine tue, on allait forcément créer quelque chose de vivant et de personnel. C’était il y a tout juste 2 ans, et à ce moment là on ne savait pas encore quoi, avec qui, ni comment. C’est un bon début pour une histoire de renaissance, en mode année zéro. Sauf que là, c’était la réalité et qu’il fallait s’y retrouver dans les rues de New York, à envoyer des messages aux artistes qu’on aimait bien, et frapper aux portes des studios. C’est ce qu’on a fait. Pendant 1 mois on a joué dans des clubs de New York et on a rencontré des musiciens, des artistes, des arrières salles pleines de graffs, des stylistes et des studios planqués dans des immeubles. De fil en aiguille on a fait la connaissance de JILLIONAIRE (Major Lazer) et son équipe presque par hasard. On ne savait pas que Jillionaire était un des membres actifs de Major Lazer. On n’a pas parlé de ça avec lui, on a parlé de musique, d’engagement et de passion. Alors le courant est bien passé, même très bien passé. On se comprenait et notre histoire lui a plu, notre envie de trouver un nouveau son, une énergie libératrice. Jillionaire nous a dit qu’on devrait faire un essai, on s’est donné rendez vous dans un studio du Queens. La première chanson qu’on a faite ce jour là a défini la direction du futur album de Twin Twin. C’était le premier single, SOUND SYSTEM, avec son refrain qui donnait dors et déjà un sens radical et puissant à la suite du projet : The only good system is a soundsystem ! Jillionaire nous a bien cerné. Le besoin urgent de se retrouver sur nos fondamentaux artistiques. La nécessité de nous réapproprier la démarche indépendante qui faisait notre toute notre vitalité. En rentrant de la première journée de studio avec eux, dans l’appart qu’on louait dans Brooklyn, on a écrit WEED IN MY POCKET. C’est l’histoire d’un type qui s’évade parce que tout est naze là où il est. C’est l’histoire de ceux qui ne veulent pas en rester là. C’est une chanson atemporelle et pleine d’espérance. Avec ces 2 premiers titres on avait l’ADN du nouvel album : Punk, ska et hiphop. Ensuite il a fallut rentrer à Paris. Jillionaire s’est proposé de venir quelques jours, pour bosser sur d’autres chansons. On s’y est retrouvé quelques semaines après notre départ de New York. Paris n’était plus la même à nos yeux, on était passé à autre chose. On a fait les chansons GET FREE OR DIE TRYING et EASY LIFE. Notre liberté reconquise nous donnait des ailes. C’est ce qu’on voulait dire dans ces chansons. Soyez libre. Soyez fort . Après quelques aller retours à New York. Après l’écriture d’autres titres que sont par exemple le très nineties WHAT MORE CAN I SAY, le reggae globetrotter SOMEWERE TO GO, ou encore le dubesque SAY NO. Avec le recul et maintenant qu’on a fini cet album, maintenant qu’est venu le temps de monter sur scène pour le défendre, on se rend compte qu’il raconte simplement l’histoire d’une renaissance. Dans chacune des 11 chansons qui le composent, il y a une facette de cette histoire universelle dont on a été les acteurs. Désir brûlant de vivre. L’affirmation musical de nos luttes, de nos résistances, de notre indépendance. The only good system is a soundsystem
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Genres:
Future Punk
Band Members:
Lorent Idir, Patrick Biyik, François Djemel
Hometown:
Paris, France

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About Twin Twin Oh Yeah

On pourrait parler directement de musique parce que les nouvelles chansons de TWIN TWIN parlent d’elles même. Pourtant il faut d‘abord qu’on s’arrête un instant sur l’histoire de la création de ce nouvel album, parce qu’elle est forte, unique et singulière. On s’était pris des seaux de merde de la part des médias. Pas tous, mais quand même. Personne n’avait compris notre chanson à l’eurovision, et surtout notre dernière place, qui pour nous sonnait pourtant comme une victoire. Sebastien Tellier avait dit « être dernier à l’eurovision c’est comme arriver premier dans la vraie vie ». On était donc de retour dans la vraie vie. Et dans la vraie vie on était un groupe qui avait fait plus de 200 concerts et qui cherchait à faire un nouvel album. Pour ça il fallait qu’on bouge, qu’on voyage, qu’on se réinvente. On a quitté Paris et on s’est envolé pour NEW YORK avec un point de chute et aucun contact. Comme ça, au moins, on était loin de nos habitudes, et puisque la routine tue, on allait forcément créer quelque chose de vivant et de personnel. C’était il y a tout juste 2 ans, et à ce moment là on ne savait pas encore quoi, avec qui, ni comment. C’est un bon début pour une histoire de renaissance, en mode année zéro. Sauf que là, c’était la réalité et qu’il fallait s’y retrouver dans les rues de New York, à envoyer des messages aux artistes qu’on aimait bien, et frapper aux portes des studios. C’est ce qu’on a fait. Pendant 1 mois on a joué dans des clubs de New York et on a rencontré des musiciens, des artistes, des arrières salles pleines de graffs, des stylistes et des studios planqués dans des immeubles. De fil en aiguille on a fait la connaissance de JILLIONAIRE (Major Lazer) et son équipe presque par hasard. On ne savait pas que Jillionaire était un des membres actifs de Major Lazer. On n’a pas parlé de ça avec lui, on a parlé de musique, d’engagement et de passion. Alors le courant est bien passé, même très bien passé. On se comprenait et notre histoire lui a plu, notre envie de trouver un nouveau son, une énergie libératrice. Jillionaire nous a dit qu’on devrait faire un essai, on s’est donné rendez vous dans un studio du Queens. La première chanson qu’on a faite ce jour là a défini la direction du futur album de Twin Twin. C’était le premier single, SOUND SYSTEM, avec son refrain qui donnait dors et déjà un sens radical et puissant à la suite du projet : The only good system is a soundsystem ! Jillionaire nous a bien cerné. Le besoin urgent de se retrouver sur nos fondamentaux artistiques. La nécessité de nous réapproprier la démarche indépendante qui faisait notre toute notre vitalité. En rentrant de la première journée de studio avec eux, dans l’appart qu’on louait dans Brooklyn, on a écrit WEED IN MY POCKET. C’est l’histoire d’un type qui s’évade parce que tout est naze là où il est. C’est l’histoire de ceux qui ne veulent pas en rester là. C’est une chanson atemporelle et pleine d’espérance. Avec ces 2 premiers titres on avait l’ADN du nouvel album : Punk, ska et hiphop. Ensuite il a fallut rentrer à Paris. Jillionaire s’est proposé de venir quelques jours, pour bosser sur d’autres chansons. On s’y est retrouvé quelques semaines après notre départ de New York. Paris n’était plus la même à nos yeux, on était passé à autre chose. On a fait les chansons GET FREE OR DIE TRYING et EASY LIFE. Notre liberté reconquise nous donnait des ailes. C’est ce qu’on voulait dire dans ces chansons. Soyez libre. Soyez fort . Après quelques aller retours à New York. Après l’écriture d’autres titres que sont par exemple le très nineties WHAT MORE CAN I SAY, le reggae globetrotter SOMEWERE TO GO, ou encore le dubesque SAY NO. Avec le recul et maintenant qu’on a fini cet album, maintenant qu’est venu le temps de monter sur scène pour le défendre, on se rend compte qu’il raconte simplement l’histoire d’une renaissance. Dans chacune des 11 chansons qui le composent, il y a une facette de cette histoire universelle dont on a été les acteurs. Désir brûlant de vivre. L’affirmation musical de nos luttes, de nos résistances, de notre indépendance. The only good system is a soundsystem
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Lorent Idir, Patrick Biyik, François Djemel
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