Hervé Gourdikian

Hervé Gourdikian après une solide formation musicale étudie le saxophone à Berkley (USA) et devient accompagnateur de Liane Foly sur toutes ses tournées et enregistre 7 albums (Rêve Orange, Lumières, Caméléon, Acoustique ...). Au cours de 12 années de collaboration, il compose 22 chansons sur ses albums et reçoit 3 disques d'or. En 1999, il est Directeur musical et réalisateur du dernier DVD live au Palais des Sports. Il participe également à des albums d'Étienne Daho, Nilda Fernadez, Manau, Sylvie Vartan, Brigitte Fontaine ... Il accompagne des artistes pour des émissions de télévision (Taratata, Jean-Pierre Foucault, Michel Drucker ...). Parallèlement, il reste fidèle au Jazz. Ce sera d'abord le groupe Tryphon avec Gilles Coquard, Éric moulin, Steve Shehan puis avec Daniel Humair, Ricardo del Fra, pour l'album de Mario Stanchev. Il joue avec Bill Dobbins pour l'album AIMRA WORKS. Il a le plaisir de travailler avec Michel Petrucciani pour le concert et l'album live de Liane Foly « Lumières ». Il rencontre Mino Cinelu, Éric Legnini, Daniel Roméro pour un album de Liane produit par Mick Lanaro. À la fin des années 90, il compose deux génériques pour TF1 ( Succès et Les 7 Pêchés capitaux) et se lance dans l'habillage musical de documentaires et reportages pour la télévision. Plusieurs de ses compositions sont représentées au catalogue KOSINUS ART (musique pour l'image). En 1998, dans les clubs parisiens de la rue des Lombards, il rencontre Mario Canonge, Étienne M'bappé et Roger « Kemp » Biwandu. De leurs jam-sessions naît le groupe CHIC HOT qui se produit sur différentes scènes : - Les clubs parisiens bien sûr (Baiser Salé, Sunset, Sunside, Duc des Lombards, Le Petit Journal, New Morning ...) - Les festivals de Jazz (Dunhill Jazz festival à Abidjan, festival Saint Louis au Sénegal, Festival Django Reinhardt, Festival de Boulogne, Jazz festival de la Martinique ...) L'album « Satyagraha » sort chez Lusafrica Records en 2000 et est accueilli chaleureusement par la critique : « Chef d'oeuvre du jazz métissé, Chic Hot séduit par la fluidité de ses mélodies et le feu qui se dégage de ses compositions. Avec des musiciens virtuoses qu'on retrouve également avec Joe Zawinul, Mino Cinelu, Andy Narell ... Qui dégagent une pulse afro-caribéenne d'enfer et un son de groupe extraordinaire ... Le vent du soleil qui décoiffe le Jazz ! » C'est à cette époque qu'il commence à s'intéresser à ses origines arméniennes. Déjà en 96, au hasard des rencontres alors qu'il séjourne à Los Angeles pour un album de Liane, il découvre le duduk. Cet instrument très ancien, symbole de l'âme arménienne le séduit. Il va immédiatement s'en procurer un pour l'apprivoiser et en joue sur Caméléon. C'est plus tard, en 99, qu'il a envie d'aller un peu plus loin dans la découverte de ses racines à travers la musique. Il recherche des compositions, retrouve d'anciennes partitions chez les bouquinistes et travaille les nuances et les sonorités du Caucase. Il étudie au piano les compositions de Khatchatourian et de Komitas et se perfectionne au duduk. Sa rencontre avec Bernard Ganimian lui apporte une meilleure compréhension de la culture arménienne. Ils partent ensemble pour Erevan, pour un voyage initiatique à travers l'histoire et la culture de ce peuple. C'est une découverte pour Hervé, petit fils d'un réfugié fuyant la répression, élevé dans le culte de l'intégration, et dont le seul lien avec ce pays avait été jusque là la sonorité finale de son nom de famille ... S'ouvre alors une période intense de compositions. Entre ses tournées à l'étranger avec Nana Mouskouri et les concerts de CHIC HOT, dans son home studio de la région parisienne, Hervé stocke des dizaines de thèmes, de chansons ... Dont certains seront le point de départ du travail de SIDJI MOON.


Plus d'infos : http://www.myspace.com/hervegourdikian#ixzz0wcqU7Pdw de ses débuts, il devient accompagnateur de Liane Foly sur toutes ses tournées et enregistre 7 albums (Rêve Orange, Lumières, Caméléon, Acoustique ...). Au cours de 12 années de collaboration, il compose 22 chansons sur ses albums et reçoit 3 disques d'or. En 1999, il est Directeur musical et réalisateur du dernier DVD live au Palais des Sports. Il participe également à des albums d'Étienne Daho, Nilda Fernadez, Manau, Sylvie Vartan, Brigitte Fontaine ... Il accompagne des artistes pour des émissions de télévision (Taratata, Jean-Pierre Foucault, Michel Drucker ...). Parallèlement, il reste fidèle au Jazz. Ce sera d'abord le groupe Tryphon avec Gilles Coquard, Éric moulin, Steve Shehan puis avec Daniel Humair, Ricardo del Fra, pour l'album de Mario Stanchev. Il joue avec Bill Dobbins pour l'album AIMRA WORKS. Il a le plaisir de travailler avec Michel Petrucciani pour le concert et l'album live de Liane Foly « Lumières ». Il rencontre Mino Cinelu, Éric Legnini, Daniel Roméro pour un album de Liane produit par Mick Lanaro. À la fin des années 90, il compose deux génériques pour TF1 ( Succès et Les 7 Pêchés capitaux) et se lance dans l'habillage musical de documentaires et reportages pour la télévision. Plusieurs de ses compositions sont représentées au catalogue KOSINUS ART (musique pour l'image). En 1998, dans les clubs parisiens de la rue des Lombards, il rencontre Mario Canonge, Étienne M'bappé et Roger « Kemp » Biwandu. De leurs jam-sessions naît le groupe CHIC HOT qui se produit sur différentes scènes : - Les clubs parisiens bien sûr (Baiser Salé, Sunset, Sunside, Duc des Lombards, Le Petit Journal, New Morning ...) - Les festivals de Jazz (Dunhill Jazz festival à Abidjan, festival Saint Louis au Sénegal, Festival Django Reinhardt, Festival de Boulogne, Jazz festival de la Martinique ...) L'album « Satyagraha » sort chez Lusafrica Records en 2000 et est accueilli chaleureusement par la critique : « Chef d'oeuvre du jazz métissé, Chic Hot séduit par la fluidité de ses mélodies et le feu qui se dégage de ses compositions. Avec des musiciens virtuoses qu'on retrouve également avec Joe Zawinul, Mino Cinelu, Andy Narell ... Qui dégagent une pulse afro-caribéenne d'enfer et un son de groupe extraordinaire ... Le vent du soleil qui décoiffe le Jazz ! » C'est à cette époque qu'il commence à s'intéresser à ses origines arméniennes. Déjà en 96, au hasard des rencontres alors qu'il séjourne à Los Angeles pour un album de Liane, il découvre le duduk. Cet instrument très ancien, symbole de l'âme arménienne le séduit. Il va immédiatement s'en procurer un pour l'apprivoiser et en joue sur Caméléon. C'est plus tard, en 99, qu'il a envie d'aller un peu plus loin dans la découverte de ses racines à travers la musique. Il recherche des compositions, retrouve d'anciennes partitions chez les bouquinistes et travaille les nuances et les sonorités du Caucase. Il étudie au piano les compositions de Khatchatourian et de Komitas et se perfectionne au duduk. Sa rencontre avec Bernard Ganimian lui apporte une meilleure compréhension de la culture arménienne. Ils partent ensemble pour Erevan, pour un voyage initiatique à travers l'histoire et la culture de ce peuple. C'est une découverte pour Hervé, petit fils d'un réfugié fuyant la répression, élevé dans le culte de l'intégration, et dont le seul lien avec ce pays avait été jusque là la sonorité finale de son nom de famille ... S'ouvre alors une période intense de compositions. Entre ses tournées à l'étranger avec Nana Mouskouri et les concerts de CHIC HOT, dans son home studio de la région parisienne, Hervé stocke des dizaines de thèmes, de chansons ... Dont certains seront le point de départ du travail de SIDJI MOON.