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Zaza Fournier Tickets, Tour Dates and Concerts
Zaza Fournier Tickets, Tour Dates and Concerts

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About Zaza Fournier

Elle s'appelle Zaza Fournier, parce que Zaza s'est imposé, comme un totem rythmique, comme un blaze qui sonne, comme un avatar scènique, et parce que Fournier est le nom de son père. « Zaza c'est moi en mieux. » Quelques années au Cours Florent, puis au conservatoire du XVIème à Paris, si Zaza a une formation, c'est celle-là. Elle se voyait comédienne, pas chanteuse. « Chanteuse c'était un fantasme plus grand que moi, une vision que je ne m'autorisais pas. ». A 18 ans, elle se voit offrir un accordéon par son grand-père. Parce que l'accordéon « c' était à mes yeux l'instrument le plus rock and roll possible. Le plus sensuel aussi. » Et que comme sa tante en joue, elle y vient tout naturellement. Une histoire de famille donc. Elle écrit des chansons, pour elle surtout et continue de se frotter à Racine et Copi. Pourtant, à l'heure où le frigo n'a pas grand chose à refroidir, fatiguée des petits boulots, la jeune fille de 22 ans se jette sur un bout de trottoir à Beaubourg et risque ses chansons naissantes. Les gens s'arrètent. Et reviennent. Alors commence l'épopée des cafés-concerts, des petites salles Parisiennes, des petits clubs. C'est au même moment qu'elle rencontre Jack Lahana, ingénieur du son et réalisteur ( Brigitte Fontaine, Adan & Xavi, La Fiancée...) et Rob (Clavieriste de Phoenix, arrangeur et compositeur de musiques de films). A trois, ils s'amusent à tailler des costumes à ses morceaux et finissent par faire écouter ce qui commence de plus en plus à ressembler à un disque. Alors, tout va très vite, et c'est avec Warner (Music France) que Zaza Fournier se lance, un peu sonnée. Un premier album éponyme paraît en 2009. On en parle comme d'une pop moderne et pétillante, un brin siphonnée, à la croisée des genres. Zaza jouera partout en France au cours d'une tournée frénétique de plus de 200 dates, qui finira par lui faire traverser les frontières (Brésil, Japon, Australie, Russie, Ukraine, Pologne etc...). Elle y va seule, avec son accordéon et son Ipod, qu'elle présente comme son « groupe ». Deux ans après, Zaza explore les yéyés et le Rock a Billy et sort son deuxième album « Regarde moi », pour lequel elle repart, entourée cette fois d'un « vrai » groupe, plus rock, plus twist, plus gominé. L'accordéon met son perfecto et passe des nuits à la « Vodka fraise ». Le morceau est d'ailleurs le plus diffusé sur France Inter cet été là. Il y aura l'Olympia, une création pour les Francofolies et une tournée en France, puis ailleurs... Zaza se rapproche de son désir de croiser les disciplines, et si le rapport au public est une question primordiale pour l'artiste, sur scène Zaza commence à laisser place à quelque chose qui ressemble de plus en plus à un spectacle. « Nous avons tant de moyens possibles pour mettre en éveil les sens du spectateur, pour créer un monde autour des chansons» et Zaza ne veut pas s'en priver. En 2015, à l'ombre d'un bureau chez son editeur (Universal Publishing), elle rencontre MaJiKer, musicien et arrangeur (Camille, Melissa Laveaux, Florent Marchet...). Zaza partage avec l'oiseau ses chansons, ils en feront un disque tous les deux, « Le Départ » qui marque un tournant dans le parcours de Zaza. L'album (une autoproduction, en licence chez Verycords) se fait à quatre mains. Il continue de questionner le genre avec « Garçon », comme en réponse à son « Mademoiselle » des débuts, et invente, de fantasme en fantasme, des chansons qui nous emmène derrière le bar de « L'hôtel des Acacias », whisky fumé et néon tremblant, à la rencontre du « Tigre » qui vit dans la tête de Zaza et dans le frigo de ses « Nuits blanches »... Ce qui rapproche la chanteuse et le réalisateur, c'est aussi le goût du spectacle. Ils feront ensemble une centaine de dates, en passant par le festival d'Avignon, car Zaza Fournier se rapproche toujours un peu plus du théâtre. MaJiKer au piano et beatbox, Zaza passant de l'accordéon au ukulélé, du synthé à l'omnicord... Cette même année, elle rejoint l'Ultrabal, collectif créé par Fixi (Java, Winston Mcanuf...) et Alexis HK, qui prend plaisir à dépoussierer le bal populaire, des stantards de la pop au maloya réunionnais. Zaza est friande de collaborations, le spectacle « Garçons » qu'elles imaginent avec Cléa Vincent et Carmen Maria Vega, en est d'ailleurs la preuve. Une création initiée par le théâtre des Trois Baudets, autour du répertoir de Jacques Canetti. « Garçons », ce sont des chansons d'hommes qui parlent des femmes. Ainsi, les trois artistes s'inventent de la téstostérone, et jouent avec les questions de genre en reprenant Aznavour, Christophe et Léo Ferré, dans des versions réarrangée des morceaux. Après trois albums, et de nombreux concerts, Zaza est poussée aujourd'hui par l'envie de faire les choses un peu autrement. Un spectacle d'abord, un disque ensuite. C'est avec cette idée qu'elle crée « Le Déluge ». Treize chansons comme colonne vertébrale, et presque autant de textes pour donner à voir une forme qui échappe aus définitions toutes faites. « Un spectacle musical, une forme hybride, un concert monstrueux, on n'est pas obligé de choisir. » Elle s'entoure de deux sirènes amazones, Diane Villaneuva (rythmique et chant) et Juliette Serrad (Violoncelle et chant) pour un spectacle très vocal, entre fantasme et cauchemard, rêve dangereux et nuit blanche. Le Déluge commence après la fin de l'histoire. Après ce qui nous a été donné comme objectifs de réussite quand nous étions enfants (le mariage /un certain statut social /l'indépendance financière /devenir parent etc...). Le Déluge explore la difficulté d'être, dans un monde où tout nous indique comme il convient de vivre. Que fait-on de nos cataclysmes internes ? Nous, êtres de désirs, de mouvements. En dix ans, Zaza Fournier a redessiné les contours de son identité artistique, chanteuse, comédienne, metteur en scène, un peu des trois à la fois, elle invente des chansons, des spectacles ou les disciplines se croisent, où il n'est pas interdit d'être multiple, plusieurs êtres, plusieurs formes. Des spectacles où tous les moyens sont bons pour explorer nos mondes interieurs, infiniment complexes, toujours changeants. NOUVEAU SPECTACLE "LE DÉLUGE"
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Genres:
International, French

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About Zaza Fournier

Elle s'appelle Zaza Fournier, parce que Zaza s'est imposé, comme un totem rythmique, comme un blaze qui sonne, comme un avatar scènique, et parce que Fournier est le nom de son père. « Zaza c'est moi en mieux. » Quelques années au Cours Florent, puis au conservatoire du XVIème à Paris, si Zaza a une formation, c'est celle-là. Elle se voyait comédienne, pas chanteuse. « Chanteuse c'était un fantasme plus grand que moi, une vision que je ne m'autorisais pas. ». A 18 ans, elle se voit offrir un accordéon par son grand-père. Parce que l'accordéon « c' était à mes yeux l'instrument le plus rock and roll possible. Le plus sensuel aussi. » Et que comme sa tante en joue, elle y vient tout naturellement. Une histoire de famille donc. Elle écrit des chansons, pour elle surtout et continue de se frotter à Racine et Copi. Pourtant, à l'heure où le frigo n'a pas grand chose à refroidir, fatiguée des petits boulots, la jeune fille de 22 ans se jette sur un bout de trottoir à Beaubourg et risque ses chansons naissantes. Les gens s'arrètent. Et reviennent. Alors commence l'épopée des cafés-concerts, des petites salles Parisiennes, des petits clubs. C'est au même moment qu'elle rencontre Jack Lahana, ingénieur du son et réalisteur ( Brigitte Fontaine, Adan & Xavi, La Fiancée...) et Rob (Clavieriste de Phoenix, arrangeur et compositeur de musiques de films). A trois, ils s'amusent à tailler des costumes à ses morceaux et finissent par faire écouter ce qui commence de plus en plus à ressembler à un disque. Alors, tout va très vite, et c'est avec Warner (Music France) que Zaza Fournier se lance, un peu sonnée. Un premier album éponyme paraît en 2009. On en parle comme d'une pop moderne et pétillante, un brin siphonnée, à la croisée des genres. Zaza jouera partout en France au cours d'une tournée frénétique de plus de 200 dates, qui finira par lui faire traverser les frontières (Brésil, Japon, Australie, Russie, Ukraine, Pologne etc...). Elle y va seule, avec son accordéon et son Ipod, qu'elle présente comme son « groupe ». Deux ans après, Zaza explore les yéyés et le Rock a Billy et sort son deuxième album « Regarde moi », pour lequel elle repart, entourée cette fois d'un « vrai » groupe, plus rock, plus twist, plus gominé. L'accordéon met son perfecto et passe des nuits à la « Vodka fraise ». Le morceau est d'ailleurs le plus diffusé sur France Inter cet été là. Il y aura l'Olympia, une création pour les Francofolies et une tournée en France, puis ailleurs... Zaza se rapproche de son désir de croiser les disciplines, et si le rapport au public est une question primordiale pour l'artiste, sur scène Zaza commence à laisser place à quelque chose qui ressemble de plus en plus à un spectacle. « Nous avons tant de moyens possibles pour mettre en éveil les sens du spectateur, pour créer un monde autour des chansons» et Zaza ne veut pas s'en priver. En 2015, à l'ombre d'un bureau chez son editeur (Universal Publishing), elle rencontre MaJiKer, musicien et arrangeur (Camille, Melissa Laveaux, Florent Marchet...). Zaza partage avec l'oiseau ses chansons, ils en feront un disque tous les deux, « Le Départ » qui marque un tournant dans le parcours de Zaza. L'album (une autoproduction, en licence chez Verycords) se fait à quatre mains. Il continue de questionner le genre avec « Garçon », comme en réponse à son « Mademoiselle » des débuts, et invente, de fantasme en fantasme, des chansons qui nous emmène derrière le bar de « L'hôtel des Acacias », whisky fumé et néon tremblant, à la rencontre du « Tigre » qui vit dans la tête de Zaza et dans le frigo de ses « Nuits blanches »... Ce qui rapproche la chanteuse et le réalisateur, c'est aussi le goût du spectacle. Ils feront ensemble une centaine de dates, en passant par le festival d'Avignon, car Zaza Fournier se rapproche toujours un peu plus du théâtre. MaJiKer au piano et beatbox, Zaza passant de l'accordéon au ukulélé, du synthé à l'omnicord... Cette même année, elle rejoint l'Ultrabal, collectif créé par Fixi (Java, Winston Mcanuf...) et Alexis HK, qui prend plaisir à dépoussierer le bal populaire, des stantards de la pop au maloya réunionnais. Zaza est friande de collaborations, le spectacle « Garçons » qu'elles imaginent avec Cléa Vincent et Carmen Maria Vega, en est d'ailleurs la preuve. Une création initiée par le théâtre des Trois Baudets, autour du répertoir de Jacques Canetti. « Garçons », ce sont des chansons d'hommes qui parlent des femmes. Ainsi, les trois artistes s'inventent de la téstostérone, et jouent avec les questions de genre en reprenant Aznavour, Christophe et Léo Ferré, dans des versions réarrangée des morceaux. Après trois albums, et de nombreux concerts, Zaza est poussée aujourd'hui par l'envie de faire les choses un peu autrement. Un spectacle d'abord, un disque ensuite. C'est avec cette idée qu'elle crée « Le Déluge ». Treize chansons comme colonne vertébrale, et presque autant de textes pour donner à voir une forme qui échappe aus définitions toutes faites. « Un spectacle musical, une forme hybride, un concert monstrueux, on n'est pas obligé de choisir. » Elle s'entoure de deux sirènes amazones, Diane Villaneuva (rythmique et chant) et Juliette Serrad (Violoncelle et chant) pour un spectacle très vocal, entre fantasme et cauchemard, rêve dangereux et nuit blanche. Le Déluge commence après la fin de l'histoire. Après ce qui nous a été donné comme objectifs de réussite quand nous étions enfants (le mariage /un certain statut social /l'indépendance financière /devenir parent etc...). Le Déluge explore la difficulté d'être, dans un monde où tout nous indique comme il convient de vivre. Que fait-on de nos cataclysmes internes ? Nous, êtres de désirs, de mouvements. En dix ans, Zaza Fournier a redessiné les contours de son identité artistique, chanteuse, comédienne, metteur en scène, un peu des trois à la fois, elle invente des chansons, des spectacles ou les disciplines se croisent, où il n'est pas interdit d'être multiple, plusieurs êtres, plusieurs formes. Des spectacles où tous les moyens sont bons pour explorer nos mondes interieurs, infiniment complexes, toujours changeants. NOUVEAU SPECTACLE "LE DÉLUGE"
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