PANDA VALIUM

C'est à Ciboure que Panda Valium a grandi entre mixtapes à la tonne, funk instrumental, sports de glisse et soirées à hautes doses de BPM. Un premier LP BUBO (Edelweiss 2010) est remarqué par la presse hexagonale, Tsugi en tête. Ses climats sombres et épiques font mouche, aussi bien chez les puristes que les novices de musiques électroniques. La critique salue le savoir-faire et la cohérence de Panda Valium, qui sait distiller une euphorie douce via une production élégante. Si on le cuisine sur ses influences, il peut citer Neu!, Holden, George Clinton, l' Orchestre Polyrythmo de Cotonou, Luke Abbott, Container, This Quiet Army, ou encore Cluster. Les productions suivantes continueront de ravir les critiques, les scènes s'enchainent, Panda Valium co-fonde le collectif MoïMoï et le festival Baleapop et c'est alors qu'il sème ses poursuivants en se lançant dans plusieurs projets parallèles: Polygorn, un quatuor machines/batterie/basse/guitare, et Lloba, spectacle multimédia où les danses et rythmes traditionnels basques sont réappropriés au travers de l'électro. 2014 : EP CIGÜE (Passive Front Records) 2016/IV/20 : EP CATHARTICA 1/3 2016/VII/29 : EP CALENDULA 2/3 (MoïMoï Rds - artwork Louizon Triol).